De l’indignation à la colère, voire plus (ndlr)

La montée en puissance d’un sentiment de colère, de révolte, face à des pratiques quasi mafieuses qui n’ont rien appris de la crise sinon comment dissimuler encore mieux les rouages l’ayant entrainée et amplifier, si faire ce peut, le pillage du bien public, transforme tout naturellement les innombrables indignés en enragés car, en dépit de l’immense responsabilité des médias de toutes sortes complices, car détenus par la Finance et ses laquais, l’opinion a compris le mépris et la manipulation dont elle est l’objet et son exaspération est maintenant perceptible et parvenue probablement à un niveau irréversible.

Paul Jorion l’avait prévu ; nous y sommes et sa tribune de vendredi dernier est parfaitement explicite.

Chaud devant !

Le Comité de rédaction