Tala’t Ramieh, assassiné par l’armée israélienne

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L’armée israélienne a assassiné un jeune palestinien à proximité du point de contrôle militaire de Qalandia.

Tala’t Ramieh, âgé de 25 ans et originaire du village de Ram, a été assassiné vendredi après-midi au barrage de Qalandia, quand il a été frappé par une balle tirée par les Forces Israéliennes d’Occupation qui voulaient stopper les manifestations pour la défense de la mosquée Al Aqsa.

Les troupes des FIO ont également blessé six autres personnes, dont un photographe et deux enfants, la blessure de l’un d’entre eux étant jugée grave. Des dizaines d’autres personnes ont souffert de difficultés respiratoires à la suite de l’inhalation de gaz lacrymogène.

Des témoins oculaires ont dit que Ramieh a été touché par une balle à bout portant et a ensuite été emmené à un complexe médical palestinien.

Des sources médicales palestiniennes ont déclaré que Ramieh est arrivé à l’hôpital dans un état critique et qu’il a subi un certain nombre de chirurgies, mais les médecins n’ont pu le sauver et il est décédé le vendredi soir.

Les funérailles Ramieh ont eu lieu le samedi.

Douze Palestiniens blessés par l’armée israélienne lors des funérailles de Tala’t Ramieh

Ma’an News Agency - 26 février 2012

Douze Palestiniens ont été blessés samedi dans des affrontements à Al-Ram, au nord de Jérusalem, après les funérailles du jeune Palestinien assassiné vendredi par des tirs israéliens en Cisjordanie occupée.

Ma’anImagesTala’t Ramia, âgé 25 ans, est décédé à l’hôpital vendredi soir après que des soldats israéliens lui ont tiré à bout portant dans la poitrine lors d’une manifestation.

Les affrontements qui ont suivi les funérailles de Ramia ont eu lieu près de l’entrée Est d’Al-Ram. Un grand nombre de soldats armés étaient arrivés deux heures avant que le cortège ne soit sur place, a témoigné un journaliste de Ma’an.

Les soldats ont tiré des grenades lacrymogènes sur les manifestants ainsi que des balles en caoutchouc sur les jeunes gens qui lançaient des pierres très à l’écart du reste de la foule, a dit le même journaliste.