Trop facile d’attendre

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"... passez à l’acte ... adressez une lettre au président de la République ..."

ci-dessous mode d’emploi, très simple

Le 8 décembre prochain, à l’occasion de la fête musulmane d’Al-Adha*, le gouvernement israélien devrait libérer 250 prisonniers palestiniens**…

La France doit, à cette occasion, demander un geste à son égard, un geste de justice envers notre compatriote Salah Hamouri. Depuis trois ans que Salah est emprisonné, l’action de la France s’est limitée à assurer le service minimum consulaire. Aucune action diplomatique d’ampleur n’a été entreprise pour obtenir sa juste libération.

Pour que personne ne reste sur le côté du chemin, pour construire son avenir, notre avenir l’abbé Pierre affirmait un jour « Trop facile d’attendre et de compter sur les autres ou sur l’Etat. Et dangereux. Sortons de cette torpeur qui nous écrase. Nous vous appelons à passer à l’acte… » Aujourd’hui un acte simple peut être accompli. Celui d’adresser une lettre au Président de la République pour lui demander d’intervenir énergiquement en faveur de la libération de Salah Hamouri.

Pour écrire au Président (cliquez) :

Lettre ouverte

Monsieur le Président,

Le gouvernement israélien, dans le cadre de négociations menées avec l’Autorité Palestinienne, a annoncé son intention de libérer prochainement 250 prisonniers Palestiniens. Cet acte est présenté par le gouvernement israélien comme un geste de bonne volonté.

Or, aujourd’hui, dans ce conflit et à cause de ce conflit, un de nos compatriotes, Salah Hamouri, est maintenu dans les geôles israéliennes. Ce jeune homme étudiant en sociologie à été condamné par un tribunal militaire pour être passé, 3 mois avant son arrestation, devant le domicile de Yossef Ovadia, chef du parti Shas, et pour une appartenance infondée au FPLP.

Compte tenu de ces éléments et des relations d’amitiés entretenues entre la France et Israël, je vous demande d’intervenir expressément auprès du gouvernement de Monsieur Olmert afin qu’il mette parmi ces noms, celui de Salah Hamouri.

Il est temps que la France fasse entendre sa voix. La question n’est pas juridique, ni difficile. C’est une question de décision politique en même temps qu’une mesure de justice.

C’est un véritable choix humain pour la paix et pour le bonheur d’une famille.

Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations sincères et respectueuses.

Nom Prénom - Ville
Date et Signature