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Chronique de l’occupation

Dimanche, 19 octobre 2008

dimanche 19 octobre 2008

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001

Les enfants de Gaza grandissent avec la peur et le traumatisme

De graves traumatismes et la peur sont des tourments pour les enfants dans les territoires occupés, en particulier pour ceux qui vivent dans la bande de Gaza.

Les incessantes opérations militaires sionistez et les représailles violentes provoquent des maladies psychologiques et des conditions de vie misérables. Le récent cessez-le-feu dans la bande de Gaza a permis un repos temporaire, mais il ne guérit pas leurs craintes et leurs cauchemars.

L’été 2007 a été le début du chaos pour une pauvre famille de Bédouins de Sahar. Sahar Owaidat, 6 ans, reste en état de choc ou subit peut-être des symptômes de troubles post-traumatiques depuis que des soldats sionistes ont envahi sa maison et frappé violemment son père et ses frères et sœurs, alors qu’elle et le reste de la famille restaient là à regarder impuissants.

Dans toutes les cultures, le père de la famille représente la sécurité pour la famille. Les soldats sionistes ont régulièrement volé ce rôle aux pères palestiniens.

Sahar fixe ses grands yeux sur moi et me raconte : « J’ai demandé à ma mère de me serrer dans ses bras et de me garder en sécurité. J’avais peur quand j’ai entendu la voix de mon père crier et gémir. J’ai vu le sang couvrir notre maison et de nombreux fantômes tenter de me kidnapper. Dans le coin de la pièce, trois soldats frappaient mon jeune frère, Emad. J’ai pleuré et pleuré et pleuré jusqu’à ce que ma mère me réveille. J’ai peur de dormir parce qu’ils reviennent."

Les larmes me sont montées aux yeux, mais ceux de Sahar étaient sans expression pendant qu’elle racontait cette nuit il y a un an, lorsque l’armée sioniste a envahi à plusieurs reprises la région où elle vivait. La famille dit que les soldats sionistes ont fait irruption dans leur maison, arrêté tous les frères et les ont frappés sous les yeux de la famille.

Sahr dit : « Je voulais aller à l’école et j’avais préparé mes papiers et mes crayons. Je suis allé dormir mais je ne le pouvais pas car j’entendais des coups de feu tirés à proximité. Ensuite, les chars sont venus et j’ai entendu la voix s’adresser à ma maman. J’ai vu tous mes frères et sœurs et papa à côté d’elle. Elle m’a embrassé et j’ai beaucoup pleuré. »

Le jour dont parle Sahar, après trois heures d’opérations militaires difficiles, des soldats en colère ont fait irruption dans certaines maisons voisines. La maison de la famille de Sahar n’est qu’une des nombreuses maisons où tous les membres masculins de la famille ont été arrêtés par les forces d’occupation. Alors que beaucoup d’entre eux ont été libérés au bout de 48 heures, mais pas Sahar, le frère de Samer.

Samer a été envoyé au tribunal et condamné à 5 ans de prison pour avoir participé à « des actions militaires. »

Plus tard pendant l’été 2008, l’armée est revenue causer la panique et la peur parmi les enfants. L’armée sionistes a rasé des terres agricoles de la famille Owaidat et de nombreux oliviers qui font vivre la famille ont été arrachés.

La famille Owaidat est composée de quatre filles et de cinq garçons qui, comme leurs voisins, vivent dans la peur constante et sont traumatisés par les bombardements et les invasions de l’armée israélienne depuis le désengagement en 2005.

La mère m’a dit, « Sahar a changé ce jour-là où elle a été témoin de l’attaque sauvage de notre maison. Elle est devenue introvertie et maintenant elle souffre d’incontinence involontaire et de cauchemars. Ses deux jeunes frères et sœurs présentent les mêmes symptômes. »

Dans la Bande de Gaza, l’accent est mis actuellement sur des besoins humanitaires de base comme la nourriture et l’eau et l’absence de psychothérapie dans la bande de Gaza est en train de faucher une génération d’enfants qui grandissent dans la peur et le traumatisme.

Sahar a terminé ma visite avec sa prière : « Je veux aller à l’école et je ne veux pas revoir les fantômes. S’il vous plaît, si vous les voyez, dites leur que j’ai peur. Ne pas les laisser revenir. »

Les gens de conscience se demandent ce qui se passerait si un autre peuple attaquait les États-Unis de la façon dont le régime sioniste a attaqué le peuple originaire de cette terre au cours des soixante dernières années : en volant et en détruisant leurs terres, en bombardant leurs maisons, en tuant leurs enfants et leurs familles, en les privant des besoins fondamentaux et en leur volant leur dignité humaine.

Est-ce que les Américains permettraient passivement que leurs familles soient aussi maltraitées depuis 60 ans ?

Ou se révolteraient-ils et riposteraient-ils avec violence ?

Ou, peut-être, que les braves gens d’Amérique lanceraient un mouvement massif en faveur de la paix et de la réconciliation basées sur le droit international et l’égalité des droits de l’homme pour tous les peuples ?

Source : http://www.gazatoday.blogspot.com/

Traduction : MG pour ISM

ISM et Sameh A. Habeeb > Sameh.habeeb@gmail.com - Gaza – 18-10-2008

http://www.ism-france.org/news/article.php?id=10162&type=temoignage≤sujet=Enfants

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002

A Beit Sahour, la non-violence se heurte à la violence

Quand notre ami photographe a été cloué au sol et que de grosses bottes lui ont marché sur le cou pendant que sa caméra était bousillée, le temps a semblé s’arrêter. En quelques secondes, les autres membres ont tenté de l’aider (en suppliant le policier-colon brutal et les gardes-frontières et, à un moment en essayant de le protéger des coups violents avec leur corps) et six d’entre eux ont été « arrêtés » (j’utilise ce en terme entre guillemets parce qu’en réalité, ils ont été enlevés illégalement et pris en otage).

Les événements qui ont conduit à cet incident ont commencé avec l’intention des colons racistes (dont beaucoup ont un passeport étranger) de reprendre ce bout de terre de Beit Sahour qui a été pendant un certain temps utilisé par la Jordanie et, plus tard, par l’armée coloniale.

Les chrétiens et les musulmans palestiniens de Beit Sahour (le Champ des Bergers) et des villes et villages environnants ont continué à utiliser activement leurs terres à Ush Ghurab par des moyens créatifs et positifs en dépit des tentatives de recolonisation.

Nous nous joignons régulièrement aux militants internationaux des droits de l’homme pour montrer la force de la résistance non-violente et pour affirmer nos droits. Une partie des terres a déjà été aménagée en zone de loisirs avec des terrains de jeux pour les enfants. Dans d’autres parties sont prévus un jardin, un sentier de promenade et un hôpital.

Les Palestiniens et nos amis internationaux utilisent le site pour y effectuer de nombreuses activités comme des rencontres, des randonnées, des barbecues ou des pique-niques.

Ce jour (là, nous avons prévu une randonnée avec observation des oiseaux (Palestine Wildlife Society), une fête de la musique, et de l’athlétisme. Nous sommes arrivés à 11 h et notre première travail a été de prendre trois grosses poubelles (l’une pour les ordures, l’une pour le verre/plastique, et une autre pour le compost) et de les installer à l’endroit où les colons devaient se rassembler. Des dizaines de soldats lourdement armés nous ont bloqué la route.

Nous avons demandé à voir l’ordre militaire indiquant la fermeture de la zone et ils nous ont montré un ordre qui disait que le secteur était une zone militaire fermée (ce qui est une fumisterie, puisque les colons ont été autorisés à y entrer sans aucun problème !).

Certains soldats se sont emparés d’une maison privée à proximité du site et ses propriétaires ont été emprisonnés dans une pièce tandis qu’ils la transformaient en position militaire, avec des armes étaient pointées sur nous depuis le toit et les fenêtres.

Nous avons demandé aux soldats de placer au moins les tonneaux/poubelles sur le site parce qu’à chaque fois que les colons viennent, ils laissent des ordures partout. Nous avons prodigué aux soldats une formation approfondie aux soldats et aux policiers (ou au moins à ceux d’entre eux qui ont écoutés).
Les soldats nous ont suivis dans notre randonnée sur la colline et lorsque nous sommes arrivés à proximité de la route des colons qu’ils utilisent pour monter en haut de la colline, ils ont commencé à insister pour que nous partions.

Alors que nous quittions les lieux, un ami a soudainement été attaqué par derrière alors que d’autres étaient attaqués et enlevés. On nous a dit que si nous retournions dans la zone du parc et que nous y restions, ils seraient libérés. Donc, en fin de compte, nos amis étaient pris en otage pour avoir un impact sur nos décisions (ce qui est considéré comme un crime de guerre et répond à la définition du terrorisme : tenter de forcer quelqu’un à faire quelque chose en menaçant de nuire à un ami ou un parent).

Nous avons poursuivi nos autres activités (y compris avec plus de 70 enfants qui avaient un festival de rap et de musique) alors que les négociations pour la libération de nos amis se poursuivaient et s’élargissaient avec la participation du maire et des officiers de l’armée d’occupation.

Enfin, au bout de plusieurs heures, cinq de nos camarades ont été relâchés et un autre était toujours en détention et sera peut-être expulsé. Les cinq camarades libérés étaient deux Palestiniens (l’un de Beit Jala et l’autre de Bethléem) et une Italienne, un Anglais et un Américain. Quand les soldats sont partis, nous avons remarqué que les soldats (mais pas les colons) avaient utilisé nos poubelles, mais qu’ils avaient également décidé d’ajouter quelques pierres !

Les colons prévoient de revenir avec leurs messages haineux le 9 Novembre. Nous allons rester ici avec activités pacifiques et créatives et nous invitons toujours ceux qui veulent se joindre à nous pour dialoguer ou agir en faveur de la paix.

A lire également le rapport de Maan News

Traduction : MG pour ISM

ISM et Mazin Qumsiyeh > qumsi001@hotmail.com - Bethléem – 17-10-2008

http://www.ism-france.org/news/article.php?id=10158&type=temoignage≤sujet=Attaques%20de%20colons

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003

Avec l’aide des militants non violents, les olives sont récoltées à Bethlehem, en dépit de l’obstruction de l’armée coloniale
Les fermiers, avec l’aide des militants internationaux, ont commencé la récolte aux premières heures du jour. Mais, lorsqu’ils ont essayé de ses rendre sur la zone adjacente au site de construction du mur, les soldats les ont attaqués et ont essayé de les empêcher de faire la récolte.

Pendant ce temps-là, un certain nombre de colons sionistes s’étaient rassemblés sur une hauteur voisine, hurlant des slogans racistes comme « Mort aux Arabes ! », ou « Sortez les Arabes afin de nettoyer Israël ! ».

Les villageois d’Al-Ma’asara et d’Oum Salamouna organisent une manifestation non violente hebdomadaire contre le Mur d’Annexion que le régime sioniste construit sur les terres des villageois. La plupart des fermiers tirent la totalité ou l’essentiel de leurs ressources de la production de leur terre. Si on leur interdit l’accès à leur terre, on les empêche de gagner leur vie.

George Rishmawi - IMEMC News – Vendredi 17 octobre 2008 – 14 : 39

http://www.imemc.org/article/57352

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004

Des délégations internationales participent à la manifestation hebdomadaire de Bil’in

Les habitants de Bil’in ont organisé leur manifestation hebdomadaire contre le Mur d’Annexion et les implantations, vendredi 17/10/08, et ont été rejoints par un certain nombre de délégations internationales.

Vendredi 17/10/08, des dizaines de villageois, accompagnés par des militants des droits de l’homme internationaux et israéliens, ont traversé le village en portant des drapeaux Palestiniens et en chantant des slogans contre le Mur qui rend inaccessibles de vastes étendues de terres du village. Des groupes de solidarité Norvégiens et Français s’étaient également joints aux gens de Bil’in dans leur manifestation, exigeant que le régime sioniste laisse les Palestiniens récolter leurs olives. Les manifestants se sont trouvés confrontés à des soldats sionistes alors qu’ils se dirigeaient vers les terres situées derrière le Mur. Les soldats les ont arrosés de gaz lacrymogène, de balles acier caoutchouc et de grenades assourdissantes. Mais les manifestants ont réussi à passer et ont brisé la porte !

Des dizaines d’entre eux ont été exposés aux gaz et ont dû recevoir des soins médicaux sur les lieux.

Le Comité Populaire contre le Mur et les Implantations, ainsi que le mouvement israéliens Anarchistes Contre le Mur ont reçu la Médaille Carl von Ossietzky pour leurs efforts dans la mise en pratique et la promotion de la résistance non violente contre l’occupation sioniste de la Palestine au cours des dernières années.

George Rishmawi - IMEMC News – Vendredi 17 octobre 2008 – 15 : 22

http://www.imemc.org/article/57353

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005

La police de la zone sioniste arrête trois habitants juifs d’Akka pour avoir vandalisé des voitures
Les sources sionistes ont rapporté, vendredi 17/10/08, que la police de la zone sioniste avait arrêté trois habitants juifs qui sont apparemment responsables d’actes de vandalisme sur des voitures appartenant à des habitants arabes de la ville au cours des heurts qui ont éclaté entre Juifs et Arabes la veille de la fête de Yom Kippour.

La police a appréhendé 78 personnes et prononcé 4 mises en examen depuis le début des affrontements.

Un des trois habitants détenus a été libéré de prison et placé en « arrestation à son domicile ».
Environ 1 000 officiers de police ont été récemment déployés à Akka en lus es Forces Spéciales qui sont responsables du maintien de l’ordre dans les principales zones de conflit.
En outre, le commandant de District Shimon Koren a rencontré le Maire d’Akka et divers autres officiers de police locaux, et les a informé que le dialogue avec des chefs religieux et politiques des deux communautés juives et arabes devait se poursuivre afin d’assurer que le jour de la « Smichat Torah » et les jours suivants, les fêtes suives se dérouleraient sans incident.

Koren a déclaré que la police a déployé de nouvelles forces et que l’unité d’investigation spéciale a poursuivi sa recherche de chacune des personnes impliquées dans les émeutes.

Le conducteur Arabe, Tawfik Jamal, qui traversait un quartier mixte le jour de Yom Kippour, et qui avait été attaqué par plusieurs jeunes Juifs, ce qui avait marqué le début des affrontements, a été placé en « arrestation à son domicile » et son permis de conduire a été suspendu pour un mois.

Saed Bannoura - IMEMC News – Vendredi 17 octobre 2008 – 22 : 56

http://www.imemc.org/article/57351

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006

La presse sioniste déclare qu’il n’est pas possible de protéger la ville occupée d’Ashkelon des missiles du Hamas

Un officier supérieur de l’armée d’occupation a reconnu la difficulté des défenses installées dans les colonies pour intercepter les missiles de la résistance palestinienne.
 
Le journal hébreu « Haaretz » a rapporté les propos de cet officier, selon lequel il est peut être possible de protéger Nahel Oz ou Sdérot, mais il est très difficile de faire la même chose pour Ashkelon, Asdoud et Keriat Jat.

Il a ajouté que ces colonies risquaient d’être les cibles de la résistance palestinienne au cas où les informations qui circulent, selon lesquelles le Hamas possède des missiles d’une portée supérieure à 30 Km, sont véridiques.

Cet officier a souligné que les missiles de la résistance palestinienne continuent de menacer les colonies et les villes de l’occupation, notamment les habitants d’Ashkelon et plus de 120 mille maisons doivent être protégées.

« Haaretz » a également indiqué que les forces de l’armée d’occupation ont exploité l’accalmie signée avec les factions de la résistance palestinienne à Gaza pour protéger les colonies qui s’exposent aux missiles palestiniens.

Al Qods occupée – CPI - 18/10/2008 - 12:53

http://www.palestine-info.cc/fr/default.aspx?xyz=U6Qq7k%2bcOd87MDI46m9rUxJEpMO%2bi1s7K5BLvaSCatM2LM3kGDRtYjNgLCgY0e4528enC%2bMjMIeZ2Tkm2U2qvhBcmK5QeQ8P4hGjXHttdhQxf1tHAmcgO2%2fvbz9Cx5gemQvbxTeGoKM%3d

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007

Kaddoumi déclare que l’OLP a perdu sa légitimité

L’un des principaux dirigeants du Fatah, et des plus anciens leaders de l’OLP, Farouk Kaddoumi, a déclaré, vendredi 17/10/08, que l’OLP, dans sa configuration actuelle, et tout particulièrement le comité exécutif de l’OLP, a perdu toute légitimité.

Dans une interview accordée au quotidien basé à Londres Al-Hayat , Kaddoumi a déclaré que 6 membres du comité exécutif de l’OLP sont morts de sorte que le quorum ne peut être atteint.

« A mon avis, toute décision prise par l’actuel comité exécutif de l’OLP est illégale, parce que les conditions nécessaires ne sont pas réunies, en plus du fait que l’organisation d’une réunion du comité en Palestine sous occupation sioniste affecte sa légitimité et jette un doute sur la crédibilité de ses décisions, » a souligné Kaddoumi.

Il a déclaré que l’OLP aurait du être réactivée depuis longtemps mais que, malheureusement, a-t-il ajouté, ce qui avait été décidé çà ce sujet n’a pas été mis en oeuvre en raison de la victoire du Hamas aux élections et des événement qui s’en sont ensuivis.

« Nous avions réussi à jeter les bases d’une réactivation de l’OLP après la mort de Yasser Arafat, mais tous les efforts à cet égard ont été gelés [ par le Fatah ] après la victoire du Hamas aux législatives de 2006. »

A cet propos, Kaddoumi a souligné l’importance d’inclure le mouvement du Hamas (qui est le parti le plus important sur la scène Palestinienne) et le Jihad Islamique dans l’OLP, et cela sans conditions, parce que « la réactivation et la réforme de l’OLP sont une demande du peuple Palestinien. »

En outre, Kaddoumi a critiqué la réunion du comité exécutif de l’OLP en Palestinie occupée, ce qu’il a qualifié d’« anormal ». IL a également accusé l’Ap de vouloir avaler l’OLP et ses départements.
Kaddoumi a également condamné les négociations entre le régime sioniste et l’AP qui, selon lui, ont causé du tort à la position Palestinienne sans rien apporté de bon au peuple Palestinien, et il a expliqué que les implantation sionistes en Cisjordanie, et tout particulièrement à Jérusalem, avait augment en nombre et en étendue. « Ces négociations, » a-t-il ajouté, « sont bien incapables de conduire à un règlement juste du problème pour le peuple Palestinien. »
Evoquant la préparation du 6ième congrès du Fatah, attendu depuis si longtemps, Kaddoumi a révélé que la réunion était enfin en vue, et que le mouvement n’avait plus qu’à fixer la date et le lieu pour se réunir.
Un autre leader important du Fatah, Bail Sha’ath, qui est membre du comité central du Fatah, a menacé de remettre sa démission en raison de ce qu’il a appelé « les pratiques malhonnêtes d’Abbas. »

Il a expliqué qu’il avait été nommé par le comité central du mouvement du Fatah afin de faire avancer le dialogue avec le mouvement du Hamas, mais que le président Abbas avait autorisé d’autres personnes [ du Fatah ] à négocier et à traiter le problème bien qu’il ait été nommé à titre exclusif pour faire ce travail, et il a appelé les autres membres du comité central à le soutenir à ce sujet.

Le Caire (CPI) - 17/10/2008 - 20:25

http://www.palestine-info.co.uk/En/default.aspx?xyz=U6Qq7k%2bcOd87MDI46m9rUxJEpMO%2bi1s7ZZ%2bbCdSVbx%2bjUGT2bVrTOr5Le%2b4lN9hZM3jlR8acOC6jfS13l0F6CzL4iCUoRNP%2fa%2fYmmoIZEyKbj4%2bIZQA8C2xAjXdQwZZbrb3CTm6nCCA%3d