Flux et relations directes Turquie - Palestine ( ndlr )

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Le quotidien Hürriyet rapporte que le président de l’administration palestinienne Mahmut Abbas a demandé, lors de ses contacts à Ankara, le soutien du président Abdullah Gül et du Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan, pour l’établissement et l’exploitation de la zone industrielle Djénine dans le Nord de la Cisjordanie par l’Union des chambres et des bourses de Turquie (TOBB).

Selon l’information, les parties se sont mises d’accord lors des entretiens effectués avec la partie palestinienne, sur le texte de l’accord qui sera signé entre la Société anonyme des zones industrielles organisées et de technologies établi préalablement par TOBB pour développer et exploiter les zones industrielles en Palestine, et l’Administration des régions industrielles de la Palestine. A la suite de la signature du texte de l’accord prévue pour la semaine à venir, un contrat d’exclusivité définissant le cadre des dispositions en vue de l’exploitation de la région, pourrait également être signé en peu de temps. Il est indiqué que la construction des infrastructures de la zone pourrait s’achever dans 16 mois et que la zone pourrait être mise au service des investisseurs en avril 2011. La zone industrielle qui sera construit sur un terrain de 100 hectares devrait assurer des emplois pour 10.000 personnes.

Le journal Yeni Şafak cite les propos du président de la commission parlementaire des Affaires étrangères Murat Mercan qui aurait indiqué que « les matériaux d’aide humanitaire n’auraient pas pu entrer à Gaza si la Turquie n’était pas intervenue ». Selon l’information M. Mercan aurait noté que le convoi avait rencontré d’importantes difficultés. « Je n’ai pas dormi pendant 48 heures. Si je dois raconter les difficultés que nous avons vécu, ont devrait y passer la nuit » a-t-il précisé. Il a également expliqué qu’il avait visité un par un tous les véhicules du convoi. « Tous les véhicules étaient chargés de matériels médicaux. L’Egypte n’a pas voulu laisser passer des produits alimentaires. Ils n’ont même pas autorisé les nourritures pour les bébés. Près de 1,5 million de personnes vivent dans des conditions défavorables inimaginables, dans la plus grande prison du monde de 600 kilomètres carrés. Si la Turquie n’était pas intervenue, ces produits n’auraient pas pu entrer à Gaza » a-t-il ajouté.

Le quotidien Hürriyet écrit que 35 nouveaux jets ont été mis sous registres dans les derniers mois de 2009, dans le but d’utilisations professionnelles ou privées. Selon l’information, le budget réservé pour les jets varie entre 3 et 50 millions de dollars. L’achat d’un avion jet G5000 pour 50 million de dollars a été une première pour la Turquie. Ce jet qui peut survoler des distances intercontinentales, prend la première place avec ses caractéristiques techniques et son prix.