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Blablabla d’un niveau zéro ou : parler pour ne rien dire (ndlr)

Solana « discute » du Proche-Orient et du Liban à Riyad

Et pendant ce temps, la Palestine occupée résiste, résiste, résiste et Israël tue, blesse, humilie ! (ndlr)

mercredi 14 mars 2007

Les vérités de Monsieur de La Palisse, euh, pardon de Monsieur Javier Solana ! (ndlr)

Le représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangère, Javier Solana, a réaffirmé mardi en Arabie saoudite que le règlement de la crise israélo-palestinienne constituait une priorité pour ramener la paix au Proche et au Moyen-Orient.

"Le problème de la paix est le plus important", a expliqué le haut représentant de l’UE pour la politique étrangère et de sécurité, selon la traduction arabe de ses propos fournie par la chaîne de télévision « Al-Arabiya ».

Javier Solana, qui a rencontré son homologue saoudien à Riyad, à la deuxième des trois étapes de son déplacement dans la région, commencé lundi au Liban, a discuté avec le prince Saoud el-Faiçal du blocage politique au Liban et de la façon de sortir de l’affrontement arabo-israélien, qui dure depuis bientôt 60 ans.

Mais le ministre a exclu qu’Israël puisse changer la formulation de l’initiative de paix saoudienne adoptée par la Ligue arabe à Beyrouth en 2002, comme le suggèrent des informations de presse. « Nous n’avons aucun désir de négocier cela. Ils acceptent la résolution et ensuite ils parlent de poser des conditions préalables qui devraient être acceptée avant toute négociation, discussion ou acceptation de la proposition.

Ce n’est pas une bonne façon de faire affaire », a lancé le prince El-Faiçal lors d’une conférence de presse conjointe avec M. Solana.

L’initiative de paix prévoit le retrait israélien complet des zones capturées pendant la Guerre des Six-Jours en 1967 et l’instauration d’un Etat palestinien indépendant. En échange, Israël obtiendrait la reconnaissance complète du monde arabe.

De hauts responsables de la Ligue arabe affirment que l’initiative devrait être relancée sans changement lors du sommet de Riyad des 28 et 29 mars.

En ce qui concerne le Liban, M. El-Faiçal n’a pas exclu l’organisation d’un sommet de réconciliation entre les différents responsables politiques mais pas la semaine prochaine.

Javier Solana rencontrera ensuite le président syrien Bachar el-Assad mercredi à Damas, ancienne puissance tutélaire du Liban.

Source : El Faraby - Aloufok