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Sous réserve de confirmation

“Un réseau israélien achète de la drogue d’un certain pays arabe et la fourre dans les friandises infiltrées clandestinement dans le marché libanais”

Vendredi, 10 décembre 2010 - 6h58 AM

vendredi 10 décembre 2010

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09/12/2010

“Un réseau israélien achète de la drogue d’un certain pays arabe et la fourre dans les friandises infiltrées clandestinement dans le marché libanais”.

Tel est l’avis juridique présenté depuis juin dernier par le député du Courant Patriotique Libre Nabil Nkoula au procureur général le juge Saïd Mirza, qui, à ce jour, n’a pas fourni de réponse.

Nkoula avait évoqué cette affaire lors de sa dernière conférence de presse, demandant à Mirza : "Pourquoi le parquet général ne s’est-il pas mobilisé pour enquêter sur ces mesures israéliennes visant à nuire à la société libanaise, en créant toute une génération d’adolescents toxicomanes à travers les friandises ?"

A l’origine, révèle le député aouniste c’est une société européenne qui a envoyé comme d’habitude ses agents secrets au Liban pour tester ses produits, et déterminer la date d’expiration et d’autres critères. Lors des tests au laboratoire, ils ont détecté des matières étranges dans ces friandises, et après en avoir envoyé des spécimens à la société mère, il s’est avéré que ces matières ne sont autres que de la drogue qui provoque la toxicomanie irréversible.

Selon les sources de l’enquête, " c’est un réseau israélien qui achète la drogue d’une mafia locale d’un pays arabe, la fourre dans ses friandises et les exporte illégalement sans la connaissance de la société productrice".

De son côté, la société européenne a informé les services internationaux chargés de lutter contre ces crimes, qui ont ensuite avisé les services des ambassades européennes dans la région pour mettre la main sur les sources de ces produits.

A ce sujet, Nkoula a rappelé Mirza des termes de la convention internationale arabe signée par le Liban sur la défense commune contre le crime. Celle-ci stipule l’établissement d’un bureau juridique pour la lutte contre la drogue et fixe la procédure de la coordination arabe.
« Il faut donc se renseigner d’un (certain pays arabe) sur la teneur de ces informations », a fait savoir le député aouniste, précisant que ces informations sont une transgression de la convention des Nations Unies pour la lutte contre le trafic illégal de la drogue et des stupéfiants.