Accueil > Sociétés Civiles à Parlement Européen > Exactions et prises d’otages par l’armée d’occupation

PALESTINE OCCUPEE

Exactions et prises d’otages par l’armée d’occupation

Mardi, 24 février 2009 - 18h30

mardi 24 février 2009

nombre d’entrées : 6

001

L’établissement sioniste procède à la plus large déportation de familles de Jérusalem depuis 1967

La municipalité coloniale de Jérusalem a remis à plus de 100 familles Palestiniennes des notifications de la démolition de leurs maisons dans le quartier Silwan de la région Boustan de la ville occupée de Jérusalem, sous prétexte de construction sans permis.

La procédure d’expulsion, qui se présente comme la plus importante depuis 1967 va causer le déplacement de plus de 1500 Palestiniens de Jérusalem, et le retrait de leur droit de résidence dans la ville.

Dans le même contexte, l’Organisation chrrétienne et islamique pour la protection des lieux saints de Jérusalem a accusé Tel Aviv de mener une « guerre » sur la ville de Jérusalem pour l’élimination des quartiers arabes et demande un soutien arabe et international pour sauver la ville sainte des tentatives de « judaïsation ». [...]

Le secrétaire général de l’organisation Hassan Khatir, a déclaré que les habitants du quartier « Hay Al Boustan » au sud de la mosquée d’Al Aqsa sont en grand danger et que leur expusion est devenue certaine.

Ce dernier a ajouté que les autorités d’occupation ont réussi à faire fuir des dizaines de milliers de chrétiens à cause des dures conditions de vie imposées aux Palestiniens en général ; dans la ville sainte seul 1% de la population est chrétienne après avoir atteint parfois plus de 5%.

Il a également déclaré : « Nous profiterons de la visite du pape prévue le 8 Mai prochain pour attirer son attention sur le complot sioniste qui vise à vider la terre sainte de toute présence chrétienne ».

23 février 2009 - Al Jazeera - Vous pouvez consulter cet article ici : http://www.aljazeera.net/NR/exeres/... Traduction de l’arabe : Leila

CCIPPP et Al Jazeera/ in Info-Palestine - lundi 23 février 2009

http://www.protection-palestine.org/spip.php?article7047

********************

002

Neuf observations sur les élections en zone sioniste

1 – Moins d’un mois après le massacre de Gaza, la démocratie sioniste a fonctionné comme si de rien n’était ; la droite et la gauche se positionnaient pour ou contre la tuerie pendant que les citoyens israéliens remplissaient leur devoir civique avec leur bulletin de vote. D’une main on massacre, de l’autre on vote : plusieurs d’entre nous qui avaient senti qu’il y avait là quelque chose d’obscène, sont pourtant allés voter comme tous les autres.

2 – La campagne électorale fut, sans aucun doute, la plus vide et la plus ennuyeuse de ces quatre dernières décennies : aucun suspense, pas de confrontations, pas de débats. Les trois grands partis politiques présentaient pratiquement le même programme, tant en politique intérieure et économique – néolibéralisme classique, comme si la crise économique internationale ne touchait pas l’Etat juif – que sur les questions concernant le monde arabe et plus particulièrement les Palestiniens. Il n’est pas étonnant que l’intérêt porté par l’opinion à ces élections fut extrêmement faible.

3 – Le Likoud a doublé son nombre de voix, mais ce n’est pas une surprise : ses résultats catastrophiques des dernières élections avaient reflété une conjoncture et une situation exceptionnelles (la scission voulue par Arial Sharon) auxquelles le départ de Sharon avait mis fin. Pour le parti de Netanyahu, c’est un retour à son niveau normal.

4 – De l’autre côté, l’effondrement de la gauche sioniste est une défaite historique, elle tombe de 23 sièges (ce qui était déjà faible) à 15 sièges, moins d’un tiers du nombre de sièges qu’elle avait il y a dix ans. Comme l’a noté Gideon Levy (Ha’aretz du 12 février) : après que cette gauche ait adopté le discours politique de la droite et appliqué sa politique, l’opinion n’a pas compris pourquoi il lui aurait fallu soutenir un clone de la droite et elle a décidé de la rayer de la scène politique. Pour toujours. Fin de l’histoire et une énorme responsabilité pour la gauche non sioniste pour la construction d’une alternative crédible pour les anciens partisans du Meretz qui sont aujourd’hui sans appartenance politique.

5 – Le parti raciste d’extrême droite Israel Beitenu, d’Avigdor Lieberman, a obtenu 15 sièges (à ajouter aux religieux d’extrême droite qui ont conservé leur représentativité) : Lieberman va jouer un rôle central dans la politique israélienne de ces prochaines années, quelque chose qui fait peur à tous les démocrates de la zone sioniste.

6 – Malgré le succès de Lieberman, les partis religieux juifs – qu’il faut aujourd’hui considérer d’extrême droite – n’ont pas perdu de voix. Autrement dit, l’extrême droite est plus forte aujourd’hui que dans la Knesset précédente.

7 – Les trois partis arabes (Front démocratique, Alliance démocratique nationale et Liste arabe unifiée) ont ajouté un nouveau député à la Knesset aux 9 qu’ils avaient obtenus aux dernières élections, confirmation de la volonté générale de la population palestinienne, préférant se donner ses propres représentants plutôt que s’abstenir.

8 – La droite obtient une nette majorité (65 sièges sur 120), même sans Ehud Barak qui sera toujours prêt à déserter avec quelques autres membres du parti travailliste pour entrer dans une coalition conduite par Netanyahu, et former facilement un gouvernement de droite. Tout indique cependant, en raison de l’absence d’écarts entre les trois grands partis, qu’il y aura un gouvernement d’union nationale. Comme cela fut le cas la plupart du temps depuis 1967.

9 – Il est temps de le dire haut et fort : c’est à cause du suicide politique de la gauche sioniste que la droite a gagné la bataille des âmes et des valeurs de la population. Devant nous, se présente un long et lent processus de construction d’une alternative qui, si elle veut être perçue comme telle, devra développer une véritable vision alternative. Soit, une gauche juive/arabe antisioniste, soit, le monopole de la droite pour au moins une génération.

http://www.alternativenews.org/cont...- traduction : JPP

CCIPPP et Michel Warschawski, AIC - dimanche 22 février 2009

http://www.protection-palestine.org/spip.php?article7043

********************

003

Exploitée le : 24/02/09
********************
Info n° 0457

Incorrigibles Palestiniens !

Incorrigibles Palestiniens ! La dernière fois déjà, en janvier 2006, rappelle-toi : ils ont voté pour le Hamas. Librement, certes. Mais pour le Hamas. Incroyable comme ces gens-là sont mal élevés [1].

C’est à désespérer d’en faire un jour des citoyens à part entière – nonobstant l’effort généreux que l’État sioniste consent régulièrement. (C’est pas chez nous qu’on verrait ça, hein ? C’est pas chez nous que des candidats un peu rugueux arriveraient au deuxième tour d’une élection – pas vrai ?)

Bon, ils votent mal, et nous, qu’est-ce qu’on fait – bien obligés ? On les punit, évidemment. (Faudrait pas non plus qu’ils pensent pouvoir nous défier impunément, à grands coups d’élections démocratiques.) On leur coupe les vivres, pour leur apprendre la politesse. Tu la vois, ta subvention européenne, Abdel Aziz ? Ben tiens, regarde c’que j’en fais.

Question : est-ce que ces tristes sires retiennent la (sévère mais juste) leçon ? Absolument pas. (Obtus un jour, obtus toujours. Proverbe Palestinien.)

Deux ans plus tard, les voilà qui remettent ça, et qui cette fois-ci votent pour un fondu intégral – pour un psychopathe grave qui lance carrément des appels au meurtre de masse, genre attendez un peu de voir comment je vais bouter la racaille à la mer, attendez un peu de voir comment je vais vous nucléariser tout ça, ainsi que les Yankees ont fait naguère avec les Japonais. (Ça, tu reconnaîtras : même le Hamas n’avait pas osé.)

Le mec s’appelle Avigdor Lieberman, et bien sûr je ne m’étonne que peu que les Palestiniens lui aient massivement donné leurs voix : ce n’est pas comme si on découvrait qu’ils ont la sauvagerie chevillée au keffieh. Nous, il va de soi que nous allons devoir sanctionner ce nouveau manquement au vivre-ensemble : j’espère que tu aimes te serrer la ceinture, Abdel Aziz, parce que là, c’est pas demain la veille qu’on te rétablira tes subv… Attends ! M**de alors ! Suis-je sot : j’avais mal lu ! (Ça m’arrive tout le temps !)

Au temps pour moi, je me suis (lourdement) trompé : ce sont des sionistes, et non les Palestiniens, qui ont vivement voté pour une brute ultraraciste, qui préconise notamment (mais pas que), pour en finir avec Gaza, de « combattre le Hamas comme les États-Unis ont combattu les Japonais pendant la Deuxième Guerre mondiale » – s’épargnant par Hiroshima une coûteuse « conquête du Japon ». Et en même temps, sur le fond, je suppose que ça ne change rien, et que si le prochain gouvernement sioniste intègre ce forcené, l’Europe va le sanctionner, exactement comme elle a sévi en 2006 contre les Gazaouis : ça serait quand même dommage de donner au monde l’impression que les mêmes causes électorales ne produisent pas forcément les mêmes effets, suivant qu’on est Palestinien – ou pas. Non ? Notes

[1] Pires que les Irlandais – qui ont du moins la décence d’accepter de nouvelles élections, quand par erreur ils disent « non » à l’Europe concurrentielle.

http://www.politis.fr/Incorrigibles-Palestiniens,5630.html

Politis - par Sébastien Fontenelle

CCIPPP et Politis - Sébastien Fontenelle - vendredi 20 février 2009

http://www.protection-palestine.org/spip.php?article7041

********************

004

Exploitée le : 24/02/09
********************
Info n° 0458

« Obama soutient dans les faits la politique du régime sioniste »

Al-ahram hebdo : Croyez-vous que le président Barack Obama aura une nouvelle stratégie pour régler le conflit palestino-sioniste ?

Noam Chomsky : Nous savons, de source sioniste, que la récente invasion de la bande de Gaza a été soigneusement planifiée. Il était prévu que celle-ci se termine juste avant l’arrivée de la nouvelle Administration à la Maison Blanche, de façon à causer le maximum de dégâts à Gaza, tout en donnant à Obama la possibilité d’ignorer tout cela, exactement comme il l’a fait. Tout le long des attaques, Obama est resté silencieux, sous prétexte que les Etats-Unis devaient avoir « un seul président ». Mais cela ne l’avait pas empêché de parler de nombreuses autres questions liées à la politique interne ou internationale des Etats-Unis.

Après le début de son mandat, il a fait les commentaires de routine sur les malheureuses victimes tombées des deux côtés. Sa première intervention sur la politique étrangère américaine, faite juste quelques jours plus tard, a été sur le conflit palestino-sioniste, au moment où il a nommé George Mitchell comme médiateur. En ce moment, il a répété que défendre le régime sioniste était sa priorité. Il a mentionné aussi à cette occasion son intérêt pour l’initiative de paix de la Ligue arabe. Obama a affirmé que ce plan possédait des éléments très constructifs, surtout ceux qui appellent à la normalisation des relations avec le régime sioniste et il a exhorté les Etats arabes de le faire. C’est sans doute un homme très intelligent et choisit soigneusement ses mots. Pour cette raison, nous devons supposer qu’il savait très bien ce qu’il était en train de faire lorsqu’il s’est abstenu de faire référence à l’essentiel du plan arabe, ou le contrepoids à la normalisation, c’est-à-dire un règlement créant deux Etats, basé sur un consensus international. Un consensus que les Etats-Unis et le régime sioniste ont bloqué pendant plus de 30 ans.

Obama a, par conséquent, envoyé un message très clair, qui feint de rejeter, verbalement, l’action du régime sioniste, mais qui a apporté le soutien réel des Etats-Unis à toutes ses actions criminelles dans les territoires occupés. Et ce, alors que les sionistes s’emparent de toutes les terres qu’ils souhaitent en Cisjordanie et condamnent les Palestiniens à vivre dans des cantons. C’est la seule conclusion que l’on puisse tirer des actes d’Obama avant et après son investiture.

Quelles seront les principales différences de style dans le traitement du conflit arabo-sioniste entre l’Administration d’Obama et celle de son prédécesseur ?

Il y a certainement des différences dans leur style. Si l’Administration Bush a été marquée par une arrogance sans limites et un total mépris de l’opinion internationale, en ne tenant même pas compte de l’avis des ses alliés les plus proches, celle d’Obama utilisera, sans doute, une rhétorique plus agréable à entendre et plus plaisante. Mais l’évidence à laquelle nous sommes confrontés en ce moment tend à soutenir les prévisions de Condoleezza Rice quand elle a dit que le style qui sera adopté par Obama pour traiter du conflit arabo-sioniste ressemblera beaucoup à celui du deuxième mandat de George W. Bush.

Pensez-vous qu’il serait possible de poursuivre les responsables sionistes pour crimes de guerre contre les Palestiniens lors de l’offensive de Gaza ? Les Etats-Unis risquent-ils d’apposer leur veto au cas où l’affaire serait portée devant le Conseil de sécurité ?

Si une telle demande parvient au Conseil de sécurité, les Etats-Unis lui imposeront certainement leur veto. Mais il serait très difficile qu’une telle possibilité vienne à voir le jour. Si cela a lieu, alors les Etats-Unis devraient être, eux aussi, poursuivis. Car l’invasion de Gaza a été une opération étasuno-sioniste. A part le soutien diplomatique de Washington, les armes étaient pour leur majorité américaines, et ont été utilisées en violation des lois américaines et aussi, bien entendu, du droit international. Mais les Etats-Unis ont toujours pris leurs distances par rapport à toute juridiction internationale, que ce soit la Cour pénale internationale ou la Cour internationale de justice. La loi implacable de l’Histoire dit que les puissants cherchent toujours à punir les crimes des autres, tout en restant eux-mêmes intouchables.

Que pensez-vous de l’impact qu’aura la guerre à Gaza sur la scène politique en zone sioniste ?

La réponse est claire et a été donnée par les résultats des élections sionistes où l’on voit que la guerre a poussé les sionistes encore plus vers la droite ultranationaliste et raciste.

Pensez-vous que les Palestiniens, divisés entre le Fatah et le Hamas, pourraient surmonter leurs dissensions pour parvenir à un minimum de dénominateur commun ?

Il y a eu plusieurs initiatives essayant d’aller vers une unité nationale entreprises par les Palestiniens depuis le mois de juin 2007. Il est fort possible que la violation sionistes du cessez-le-feu du 4 novembre 2008 ait été une tentative pour empêcher des réunions qui auraient conduit à un gouvernement d’union nationale. Par ailleurs, les Etats-Unis ont immédiatement réagi aux élections de janvier 2006 en punissant les Palestiniens d’avoir « mal voté » dans des élections libres. Je pense que les Etats-Unis réagiraient à un gouvernement palestinien d’union nationale de cette même manière.

Mais Obama a annoncé qu’il avait l’intention de dialoguer avec l’Iran et la Syrie. Ne pourrait-il pas encore le faire aussi avec le Hamas ?

Avec la Syrie, il va peut-être dialoguer. Mais son intention d’entretenir un dialogue avec l’Iran relève plutôt de la rhétorique vide. La position de l’Administration Obama a été révélée par le vice-président, Joe Biden, lors d’un discours prononcé dans une conférence internationale sur la sécurité, le 7 février à Munich, en Allemagne. Selon ses propres mots, l’Iran doit « abandonner son programme nucléaire illicite et le soutien accordé au terrorisme ». Par ces propos, Biden se référait au programme d’enrichissement d’uranium iranien qui est licite et qui respecte les normes du traité de non-prolifération nucléaire. Et bien que cela soit rarement dit aux Etats-Unis, la position de l’Iran quant à l’enrichissement de l’uranium est soutenue par la majorité des Etats du monde (comme les non-alignés) et par la plupart des Américains eux-mêmes.

Lorsque Biden parle de « soutien au terrorisme », il se réfère au Hezbollah et au Hamas. Il est vrai qu’ils peuvent être attaqués d’avoir perpétré des actes terroristes, mais cela ne pourra pas être l’affaire des Etats-Unis, car ce pays accorde un important soutien et commet lui-même aussi des actes terroristes beaucoup plus extrêmes. Ce qui doit préoccuper les Etats-Unis, ce sont leurs actes criminels tout comme ceux de ses alliés. Mais bien loin de cela, l’agenda américain pour des négociations renferme le programme nucléaire iranien et le support accordé par ce pays au Hezbollah et au Hamas.

Croyez-vous que Barack Obama agira en faveur de la démocratie et des libertés fondamentales dans le monde arabe ?

Rien n’indique que cela va avoir lieu. Il semble qu’Obama restera dans la même ligne traditionnelle adoptée jusqu’à présent par les Etats-Unis d’appui accordé à des régimes totalitaires et qui s’opposent à la démocratie et ce, sauf si des élections formelles aboutissent au résultat souhaité par l’Administration. Les élections palestiniennes donnent de cela une illustration frappante.

Propos recueillis
par Randa Achmawi
Semaine du 18 au 24 février 2009, numéro 754
source : http://hebdo.ahram.org.eg/arab/ahram/2009/2/18/invi0.htm

CCIPPP et Noam Chomsky - Al Ahram Hebdo - vendredi 20 février 2009

http://www.protection-palestine.org/spip.php?article7039

********************

005

Invasion de Beit Farraj

Les forces d’occupation ont ouvert le feu et tiré des grenades au gaz dans le village de Beit Fajjar, dans le sud de Bethlehem, à l’aube de samedi 20/02/09.

4 chars des forces coloniales ont envahi le village et les soldats ont commencé à ouvrir le feu au hasard. Une maison a pris feu, mais personne n’a été blessé.

Les résidents de plusieurs maisons ont du sortir dans la rue et attendre pendant longtemps, alors que les forces coloniales procédaient à l’inspection des habitations.

Aucune arrestation n’a été signalée.

[ commentaires : ils y sont allé sans trop savoir pourquoi. S’ennuyaient, sans doute. Alors on se pointe avec quatre chars de combat, au petit matin, et on y va à la rafale d’armes automatiques et aux lacrymogènes. Pour pas perdre l’habitude.

Ah, bien sûr, on entre chez les gens. Pas pour leur apporter des croissants. ]

PNN - BETHLEEM / Najib Farraj – 21.02.09

http://french.pnn.ps/index.php?option=com_content&task=view&id=3463&Itemid=1

********************

006

Les forces coloniales enlèvent deux adolescents à Jayyous

Les troupes d’occupation ont enlevé deux adolescents dans le village de Jayyous, près de Qalqilyia, aux premières heures de mardi 24/02/09.

Des sources locales ont déclaré à Ma’an que plusieurs véhicules de l’armée coloniale ont envahi Jayyous à l’aube. Les soldats ont mené des raids dans plusieurs maisons, et enlevé Sa’ed Abdel Hafiz Khaled, 16 ans, et Mu’nes Abdullah Khaled, 18 ans.

Mercredi dernier, les soldats sionistes ont imposé un couvre feu de 15 heures au village pendant qu’ils interrogeaient des dizaines de personnes dans une école.

Le maire a déclaré que ces raids sonr une réponse aux manifestations pacifiques hebdomadaires organisées dans le village en réponse à la construction du Mur d’Annexion sioniste.

Qalqilia – Ma’an – 24 / 02 / 2009 - 11:16

http://www.maannews.net/en/index.php?opr=ShowDetails&ID=36018