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PALESTINE OCCUPEE

Prises d’otages, exactions, crimes de guerre par l’occupant omniprésent

Lundi, 23 février 2009 - 6h57 AM

lundi 23 février 2009

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001

Conférence Palestinienne de l’unité le 25 février

L’Egypte a de nouveau convoqué, pour le 25 février, une conférence ayant pour objet le retour à l’unité Palestinienne, a déclaré samedi 21/02/08 un responsable du Fatah.

Azzam Al-Ahmad, chef du groupe parlementaire du Fatah au Conseil législatif Palestinien, a déclaré que l’Egypte a informé le président de l’AP Abbas ainsi que les différents mouvements Palestiniens qu’elle lancera, le 25/02/09, un dialogue avec tous les groupes Palestiniens.

La session d’ouverture de cette réunion au sommet comportera la participation des dirigeants de tous les mouvements. Au cours des réunions, cinq comités seront désignés afin de résoudre les différents aspects du conflit inter Palestinien.

La réunion était initialement prévue pour le 22 février, mais a été reportée. L’Egypte a d’abord déclaré qu’elle souhaitait négocier un cessez-le-feu à Gaza avant d’avancer sur la question des problèmes internes Palestiniens.

L’ambassadeur de Palestine en Egypte, Nabil Amr, a déclaré à Ma’an, vendredi 20/02/09 en fin de journée, que le dialogue allait reprendre incessamment. Amr a attribué le retard de la conférence du Caire à l’échec des efforts pour le cessez-le-feu.

Le 12 février, les mouvements rivaux du Fatah et du Hamas se sont, pour la première fois depuis longtemps, rencontrés en face à face dans un effort pour « assainir l’atmosphère » avant le sommet qui se prépare. Les deux parties ont parlé de cette réunion en termes positifs.

Une tentative précédente pour réunir les mouvements rivaux avait échoué en novembre dernier, et le groupe qui contrôle la Bande de Gaza s’était retiré des discussions pour protester contre les arrestations de ses membres par les forces de sécurité aux ordres du Fatah en Cisjordanie.

Le Hamas a battu le Fatah aux élections législatives de 2006. Le Hamas a ensuite été chassé du gouvernement après qu’il ait pris le contrôle de la Bande de Gaza en juin 2007.

[ commentaire : si les faits confirment les données contenues dans cette information, et notamment l’ambiance positive qui règnerait désormais, on pourrait espérer d’excellentes nouvelles. Il est clair qu’avec une équipe Netanyahu-Lieberman à la tête du gouvernement colonial, qui déclare qu’elle ne se sent liée que par se propres décisions, il n’y a aucune raison d’exiger des Palestiniens la reconnaissance de la légitimité de l’établissement sioniste. Et comme par ailleurs les rumeurs se font de plus en plus insistantes sur la volonté d’Abbas de ne pas chercher un renouvellement de son mandat, il est clair que les plaisanteries du type d’Annapolis et de ses « négociations » indéfinies sont en état de coma dépassé. On peut donc enfin passer aux choses sérieuses. Et pas qu’au Sud Liban. ]

Bethlehem – Ma’an – 21 / 02 / 2009 - 16:05

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002

Les forces coloniales ouvrent le feu sur les manifestants lors de la manifestation contre le Mur à Ni’lin

Quatre manifestants ont été atteints par des tirs à balles réelles au cours d’une manifestation pacifique contre le Mur d’Annexion sioniste dans la ville de Ni’lin, en Cisjordanie, vendredi 20/02/09.

La démonstration, partant du village, s’est dirigée vers les terres qui vont être confisquées par le Mur sioniste. Les forces coloniales ont alors arrosé les manifestants de gaz lacrymogènes et des dizaines d’entre eux ont été atteints de suffocations légère. Les soldats ont également employé des tirs à balles réelles et 4 manifestants ont été blessés.

Selon les témoins, les affrontements entre les jeunes Palestiniens, qui lançaient des pierres, et les soldats, ont duré tard dans la soirée partout dans la ville et dans la rue principale.

La colonisation a également fermé les routes conduisant au village, et déployé des jeeps militaires dans la partie sud de la ville. A la suite de ces mesures, les manifestants ont lancé des pierres sur des voitures de colons qui passaient.

Un membre du Comité Populaire Contre le Mur de Ni’lin, Salah Al Kahwajah, a déclaré que « cette manifestation est solidaire des efforts de Bil’in qui marquent le quatrième anniversaire de ses rassemblements pacifiques contre le Mur que nous employons à Ni’lin, Bil’in, Me’sara, et Jayous comme méthode de résistance qu’il faut transformer en stratégie nationale de résistance à l’occupation. »

[ commentaires : il a bien sûr mille fois raison, Si Salah ! D’autant que, comme les sionistes le savent si bien, les Palestiniens sont de plus en plus nombreux et acceptent de moins en moins de courber l’échine...J’espère qu’il fait attention quand même, ils sont très capable de le faire enlever. ]

Ramallah – Ma’an – 21 / 02 / 2009 - 13:50

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003

Les forces coloniales enlèvent un Palestinien sur le chekpoint d’Al Hamra, et interdisent le passage à des centaines d’autres

Samedi 21/02/09, les forces coloniales ont enlevé un jeune Palestinien, sur le checkpoint d’Al Hamra, dans le nord de la Vallée du Jourdain, et ont empêché des centaines d’autres de passer.

Des témoins oculaires ont déclaré que le jeune homme enlevé était Hamdan Bsharat, du village de Tammun, au sud de Naplouse.

D’autres témoins ont déclaré à Ma’an par téléphone que plus de 500 personnes avaient été arrêtées au checkpoint d’Al Hamra et se vues refuser le passage dans un sens comme dans l’autre. Les soldats ont pris les cartes d’identité de quelques personnes, qui ne peuvent dès lors plus franchir aucun barrage militaire colonial.

Les témoins ont tous insisté sur la brutalité avec laquelle les troupiers traitaient les gens, les obligeant par exemple à quitter l’abri de quelques arbres où ils avaient cherché un abri sous la pluie.

[ commentaires : mais qu’ils aillent donc s’amuser avec de tels comportements dans un pays qu’ils pourraient dire le leur, que ce soit en Europe de l’est ou à New York. Et qu’ils partent, qu’ils partent, qu’ils partent de ce pays qu’ils souillent par leur présence. ]

Jénine – Ma’an – 21 / 02 / 2009 - 09:37

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004

Les forces coloniales enlèvent trois Palestiniens à Qalqilyia

Vendredi 20/02/09 au matin, les forces coloniales on enlevé 3 Palestiniens de leur maison dans le district de Qalqilyia

Des sources Palestiniennes ont identifié les personnes enlevées comme Muhammad Inaya, Muhammad As-Sarawi, et Ali Barham. Les mêmes sources ont ajouté que, bien entendu, les maisons avaient été mises à sac par les soldats coloniaux.

Qalqilia – Ma’an – 21 / 02 / 2009 - 09:33

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005

Déviation du mur d’apartheid à Qalqilya pour annexer des terres pour les colonies

Dans la région de Qalqilya, en Cisjordanie, les forces coloniales ont commencé à reconstruire le mur d’apartheid près des petits villages de Ad Dab’a, Wadi ar Rasha, Ras at Tira, Arab Alramodin et Arab Abofarda. Ces villages étaient auparavant à l’ouest du mur, et les protestations incessantes, qui n’ont pas stoppé la construction, ont à peine modifié le tracé. De nouveaux plans, actuellement en cours de mise en oeuvre, placeront 3 de ces villages à l’est du mur, séparés de leurs terres agricoles.

Le 15 septembre 2005, la Haute Cour de « Justice » a décidé que l’armée coloniale devait dévier le mur pour rendre ces 5 villages aux territoires palestiniens de la Cisjordanie. Cependant, le 31 juillet 2007, la Haute Cour a révisé sa décision pour demander le retour de seulement 3 de ces villages du côté palestinien du mur, les villages d’Arab Alramodin et Arab Abofarda restant du côté ouest du mur. Ces villages se trouvent très près de la colonie illégale d’Alfe Menashe et comprend des terres que l’établissement colonial veut pour l’expansion de sa colonie illégale. Les autorités coloniales font pression pour que la population de ces villages soit déplacée ailleurs en Cisjordanie.

La terre palestinienne annexée illégalement pour la croissance de la colonie Alfe Menashe

Le nouveau mur sera construit de manière à séparer les 3 villages Ras at Tira, Wadi ar Rasha et Ad Dab’a de leurs terres agricoles. Les villages eux-mêmes reviendront du côté palestinien, alors que leurs oliveraies et terres agricoles resteront du côté du côté de la zone sioniste. La majorité des habitants de ces villages étant des fermiers, ils seront privés de leur moyen de ressource. La nouvelle construction provoquera aussi des dégâts énormes à la terre, puisqu’une bande d’environ 70 mètres de large sur 5 kilomètres de long sera nettoyée et passée au bulldozer, et tous les arbres et la végétation déracinés.

La nouvelle route proposée par l’armée coloniale offre aux villageois le choix de laisser l’ancien tracé, qui annexe de fait les 5 villages à la zone sioniste, ou de voir 3 d’entre eux revenir du côté palestinien du mur, mais sans leurs terres qui seront annexées à la zone sioniste pour l’expansion de la colonie illégale. Les représentants des villageois ont refusé cette option, statuant que la seule solution acceptable est que l’établissement colonial construise son mur d’apartheid sur la Ligne Verte, frontière internationalement reconnue [ Et encore ! Comme ligne d’armistice, et rien de plus ! NdT ]

Des rencontres ont lieu actuellement entre les représentants des 5 villages affectés par les projets pour résister à la nouvelle construction par des méthodes non violentes. Ils ont dit être prêts à protester chaque jour pour empêcher la construction de la nouvelle route du mur d’apartheid.

Les villageois ont rencontré des représentants légaux dimanche 15 février. L’Administration civile de l’armée coloniale a accepté un délai d’une semaine avant de commencer la construction, pendant que les avocats représentant les villages préparent les derniers arguments de leur appel.

Il semble que l’acceptation de l’Administration civile coloniale d’une semaine de délai pour les appels est au mieux une mesure de pure forme, au résultat prédéterminé. Au pire, les autorités coloniales n’ont pas l’intention d’honorer leur promesse et commenceront immédiatement leur travail de destruction. Les représentants du villages ont demandé une présence internationale dans leur village pour témoigner de cette nouvelle activité illégale du gouvernement sioniste. Les villageois ont exprimé leur espoir que les militants internationaux et les médias les aident dans leur lutte, ainsi qu’à attirer l’attention du monde sur leur cas.

Le mardi 17 février, les représentants de Ras at Tira, Al Dab’a et Wadi al Rasha se sont rencontrés pour discuter des options présentées par l’armée coloniale. Ils ont convenu d’accepter le retour de leurs 3 villages avec une zone de 3.500 dunums du côté palestinien du mur, mais ont également demandé le retour des 2 500 dunums restant qui appartiennent aux villages. Alors qu’ils étaient en pleine réunion, les bulldozers de l’armée sioniste commençaient à arriver, ainsi que d’autres engins de chantier, à Waid al Rasha.

Les géomètres et les ouvriers israéliens ont déjà commencé à marquer le tracé du nouveau mur. Il semble aussi que la campagne d’intimidation ait commencé, la police sioniste harcelant les propriétaires de commerces et d’équipement et les accusant de voler du matériel dans les colonies voisines. Les arrestations qui s’en suivent et les demandes de cautions semblent destinées à intimider les villageois pour les empêcher d’organiser la résistance aux projets.

La polide israélienne accuse les villageois de voler des équipements à Ras at Tira

Le 8 février 2009 vers 20h, le propriétaire d’un magasin dans le petit village de Ras at Tira a été arrêté par un policier sioniste qui l’a accusé d’avoir volé deux générateurs électriques et de s’en être servi pour l’éclairage de son magasin. Il a déclaré qu’il avait acheté un des générateurs il y a 5 ans, et l’autre il y a 15 ans.

Le véhicule de police était accompagné de 6 soldats dans une jeep militaire. Le propriétaire du magasin et ses générateurs ont été emmenés au poste de police dans la colonie voisine et il a été détenu jusqu’à 1h du matin. Au poste de police, il a été interrogé et accusé du vol des générateurs. Il a été libéré après avoir payé une caution de 2.400 shekels (460 €). Les générateurs sont restés en garde à vue au poste de police en attendant le procès qui aura lieu en avril.

Le 14 février, la police sioniste a accusé le propriétaire d’un tracteur-pelleteuse de l’avoir volé et a exigé que le propriétaire et son tracteur soient transférés au poste de police de la colonie pour enquête. Le propriétaire du tracteur a demandé à la police de mener son enquête sans déplacer le tracteur, puisqu’elle peut mener son enquête sur place.

Source : ISM Traduction : MR pour ISM

[ commentaires : et allez, encore un pas de plus dans l’ignominie ! Avec le régime policier et super fliqué qui sont installés, vous imaginez que des Palestinien peuvent tranquillement aller voler des équipements dans les colonies ? Les voleurs qui veulent se faire passer pour des justiciers ! ]

ISM - Qalqilia - 19-02-2009

http://www.ism-france.org/news/article.php?id=11255&type=temoignage≤sujet=Le%20Mur

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006

La libération de Barghouti pourrait diviser le Fatah

L’autorité palestinienne a « ordonné » à Marwan Barghouti, cadre du Fatah emprisonné, de ne pas critiquer le Président Mahmoud Abbas, dont le mandat est échu depuis le 6 janvier, ni la direction du Fatah, s’il est libéré de prison, a déclaré mercredi un responsable Fatah.

Ce dernier a dit au Jerusalem Post que l’avertissement a été transmis à Barghouti (qui a été condamné à 5 perpétuités pour cinq meutres) par Hussein al-Sheikh, responsable éminent du Fatah proche d’Abbas.

Entre temps, un tract distribué à Ramallah par le Fatah appelle à la révocation du premier ministre de l’Autorité Palestinienne Salaam Fayad et du dirigeant de l’OLP Yasser Abed Rabbo. Le tract accuse ces deux derniers de chercher à prendre le contrôle du Fatah.

Au début de la semaine, Sheikh a rencontré Barghouti en prison pendant près de trois heures. Il l’aurait averti de ne faire aucune critique sur la direction de l’AP lorsqu’il sera libéré.

La rencontre a eu lieu sur fonds d’articles suggérant qu’Israël était sur le point de libérer Barghouti comme « geste » en direction d’Abbas. Selon ces analyses, le régime sioniste préfère libérer Barghouti de cette façon, et non au sein d’un échange de prisonnier avec le Hamas, pour empêcher le mouvement islamique de résistance d’être crédité de cette libération.

En Zone Sioniste, on espère que l’élargissement de Barghouti donnera un coup de pouce à Abbas et aux dirigeants soi-disant « modérés » de l’AP en Cisjordanie occupée. Mais l’idée que Barghouti puisse revenir bientôt à Ramallah rend Abbas et quelques-uns de ses principaux conseillers nerveux. Leur principale crainte est que Barghouti, qui a longtemps critiqué la corruption financière de l’AP et la gestion de la vieille garde du Fatah, exploite l’attention des médias pour exprimer son point de vue sur Abbas et son entourage.

Dans le message transmis à Barghouti, la direction de l’AP souligne que sa libération sera le résultat des efforts d’Abbas et de la pression qu’il a exercée sur le camp sioniste, et non parce que son nom apparaît sur la liste des prisonniers dont le Hamas demande la libération en échange de celle du soldat de de l’occupation Gilad Shalit.

Le message rappelle aussi à Barghouti les dégâts qu’il a causés au Fatah lorsqu’il a décidé d’affronter Abbas lors des élections présidentielles de janvier 2005. A cet époque, Barghouti s’est vu obligé de retirer sa candidature sous l’énorme pression d’Abbas et de la vieille garde du Fatah, qui continuent à le rendre responsable des divisions du Fatah qui ont porté le Hamas au pouvoir l’année suivante.

Abbas est aussi préoccupé du fait que Barghouti utilise ses liens personnels étroits avec quelques dirigeants du Hamas pour saper la direction du Fatah. Selon le responsable Fatah, même depuis sa prison, Barghouti échange des messages avec Khaled Mashaal, le chef du bureau politique du Hamas en exil à Damas, et avec Osama Hamdan, le représentant du mouvement au Liban.

La libération de Barghouti relancera vraisemblablement la lutte pour le pouvoir entre la jeune et la vieille garde du Fatah. En tant que représentant de la jeune garde, Barghouti demande depuis longtemps des réformes majeures du Fatah, qui n’a pas tenu d’élections internes depuis vingt ans.

Au cours des dernières semaines, Barghouti a aussi exprimé des critiques sur l’échec d’Abbas à réunir la 6ème conférence du Fatah – instance qui pourrait décider d’élections internes et voir certainement l’accession au pouvoir de Barghouti et de ses amis.

Le « Conseil révolutionnaire » du Fatah, organe clé du mouvement en matière de décision, s’est réuni à Ramallah en début de semaine dans une nouvelle tentative de parvenir à un accord sur la réunion de la conférence, reportée maintes fois. Lors de la réunion, plusieurs tenants de la jeune garde ont menacé de démissionner si leur demande de tenir la conférence n’était pas satisfaite.

Mohamed Hourani, membre du conseil et ambassadeur de l’OLP en Algérie, a dit que le Conseil avait décidé que la conférence se tiendrait « avant le 15 avril de cette année ». Mais cette annonce a été reçue avec scepticisme par plusieurs membres Fatah, qui ont souligné que ce n’était pas la première fois qu’une date était fixée pour la réunion de la conférence.

Lors de la réunion, les dirigeants du Fatah ont décidé de créer une chaîne de télévision par satellite dirigée par le Fatah pour améliorer l’image du mouvement aux yeux de la population palestinienne et pour contrer les émissions de TV du Hamas.

D’autre part, un responsable de l’AP a confirmé que le Qatar avait invité Abbas à Doha. Les relations entre l’AP et le Qatar ont été mises à mal suite aux accusations que l’Emirat soutenait le Hamas.

Le mois dernier, Abbas a refusé de participer au sommet arabe de Doha pour discuter de l’opération « Plomb durci » dans la Bande de Gaza. Les Qataris ont révélé alors qu’Abbas leur avait dit qu’il avait peur d’être puni – apparemment par les USA et Israël – s’il se rendait au sommet.

Source : Al Manar Traduction : MR pour ISM

[ commentaires : toutes ces considérations, manoeuvres et magouilles vous donnent la nausée ? Alors c’est que vous êtes en bonne santé ! Je n’ai reproduit cet entrefilet que pour montrer à quel niveau ils sont descendus. ]

ISM et Al Manar - Palestine - 20-02-2009