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Nouvelles du jour

Chronique de l’occupation

Samedi, 5 juillet 2008

samedi 5 juillet 2008

Numéro : 589

nombre d’entrées : 8

Envoyé le 05/07/08

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58901

Un Palestinien et 2 Français blessés à Bil’in

Trois militants ont été blessés par les forces d’occupation vendredi lors de la manifestation hebdomadaire de protestation contre le mur de séparation à Bil’in, un village situé à l’ouest de Ramallah ; deux d’entre eux sont des militants français : Sonia Slo et Iman et le troisième est un Palestinien âgé de 65 ans, Mohamad Ali Abou Sa’di.

D’autre part, des dizaines de manifestants ont été traités pour inhalation de gaz lacrymogène.

Après la prière du vendredi, les villageois de Bil’in ont marché, accompagnés de militants internationaux et sionistes en portant des drapeaux palestiniens et des banderoles demandant le démantèlement du Mur et des colonies sionistes. Ils ont demandé également à la communauté internationale de lever le siège de Gaza et d’aider les Palestiniens à conserver Jérusalem.

Les participants ont également exigé que l’armée coloniale cesse de tuer des civils palestiniens et qu’elle mettre fin à l’utilisation de balles réelles contre les manifestants non-violente.

Alors qu’ils s’approchaient du mur de séparation, les forces d’occupation ont empêché les villageois d’atteindre la porte qui est censée donner accès à leurs terres, et les soldats ont tiré des bombes lacrymogènes, des bombes assourdissantes et des balles de caoutchouc. Des dizaines de manifestants ont été traités pour l’inhalation du gaz lacrymogène.

D’autre part, les forces d’occupation ont libéré jeudi après-midi Ali Hamadan Abo Rahma, 17 ans, qui avait été arrêté quatre jours plus tôt quand l’armée a envahi son village la semaine dernière et a attaqué les maisons de Mohammad Ali Yassine et de Hamadan Ali Abo Rahama où elles ont terrorisé les habitants des deux maisons et arrêté Ali.

Email- ffj.bilin@yahoo.com
Mobile- (00972) (0) 547847942
Office- (00972) (2) 2489129
Fax- (00972) (2) 2489129

Source : http://www.bilin-ffj.org/

Traduction : MG pour ISM

[ commentaires : je suis choqué chaque fois par le contraste entre la brutalité de la soldatesque sioniste et les images qu’évoquent le nom de ce village. Bil’in, c’est à dire Bi Al Aïn, « A la fontaine ». La fontaine n’est pas un endroit pour faire la guerre, mais c’est un lieu de trêve un lieu de paix par excellence. C’est là que les familles rivales posent pour un moment les armes, le temps de laisser boire les bêtes. C’est là aussi que les gars rencontrent les filles. Etait-ce sur la margelle de cette fontaine qu’était assis celui qui séduisait la Samaritaine en lui demandant qu’elle lui donne à boire ? « J’ai soif », parole fondamentale...]

ISM et Iyad Burnat - Bilin - 04-07-2008

http://www.ism-france.org/news/article.php?id=9370&type=temoignage≤sujet=Non%20Violence

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58902

Deux palestiniens membres du comité arrêtés à Al-Maasara/Oum Salamouna

Vendredi 4 juillet, des militants se sont rassemblés à Al-Ma’asara, dans le district de Bethléem ; les Palestiniens ont amené un immense drapeau palestinien, mais malheureusement, ce n’était pas pour fêter le jour de l’indépendance, mais la manifestation hebdomadaire contre la barrière d’annexion et le vol continuel de la terre palestinienne.

Comme la semaine dernière, il y eut environ 40 activistes palestiniens et une vingtaine d’internationaux et d’israéliens. C’était un groupe différent de soldats et la police des frontières était en grand nombre, mais comme la semaine dernière, c’était la même clôture de fils de fer barbelés en lames de rasoir en travers de la route, et l’espace entre le sommet de la grille et la structure permanente la plus proche était bloqué par des palettes de tuiles.

L’immense drapeau flottait au vent et les jeunes palestiniens ont commencé à pousser la clôture pendant que les adultes réclamaient l’accès à leur terre ; un soldat nouveau a suggéré avec justesse que bien sûr les Palestiniens devraient être autorisés à aller sur leur terre. Un soldat plus âgé l’a rapidement fait taire, cependant, un militant palestinien qui était, on peut le comprendre, excité que pour une fois, un peu de justice soit entendue, s’est précipité sur le tas de tuiles et l’a escaladé pour aller sur sa terre.

Là les soldats se sont rués sur lui, l’ont violemment fait tomber du tas de tuiles et l’ont emmené vers l’un de leurs véhicules. Les militants des Anarchistes Contre Le Mur (AATW) et de Palestine Solidarity Project (PSP) se sont eux aussi précipités sur les tuiles mais n’ont pas pu l’atteindre avant qu’il soit arrêté. A ce moment là, un militant a également été pris, un autre a vu ses pantalons déchirés par les soldats et a été laissé par les soldats près des véhicules israéliens pour qu’il essaie de se rhabiller.

Les soldats ont ensuite tiré des grenades assourdissantes directement sur le groupe principal de manifestants avant de se diriger vers le tas de tuiles que les membres d’AATW escaladaient mais la police des frontières avait déjà fait mouvement autour du bâtiment le plus proche et, avec les soldats, ont pu arrêter rapidement un autre Palestinien qui était avec le groupe principal, ainsi que deux internationaux.

Les soldats les ont ensuite fait sortir de force du véhicule où ils étaient détenus avec les Palestiniens, bien qu’ils aient demandé à rester avec eux.

Les soldats ont bandé les yeux des Palestiniens et les ont emmené à la base d’Etzion. Actuellement, on ne sait même pas s’ils sont détenus par l’armée ou par la police. C’est l’habitude de la base d’Etzion de ne pas répondre au téléphone pendant le week-end. Ce qui signifie que pour les Palestiniens qui y sont détenus, leurs avocats ou leurs familles ne peuvent même pas savoir de quoi ils sont suspectés. Toutefois, aux dires de certains soldats, il semble qu’un des Palestiniens puisse être accusé d’attaque, en dépit du fait qu’au moins 3 vidéos existent, chacune d’un angle de vue différent, et qui montre que ce n’est pas le cas.

Les Palestiniens risquent 8 jours de prison avant même d’être accusés.

Ce seul fait est un scandale contre lequel il faut protester le plus largement possible, mis à part que des choses tout aussi révoltantes ont lieu en Cisjordanie chaque jour.

Source : Palestine Solidarity Project

Traduction : MR pour ISM

ISM et Palestine Solidarity Project - Palestine – 05-07-2008

http://www.ism-france.org/news/article.php?id=9374&type=temoignage≤sujet=R%E9sistances

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58903

Des navires de guerre sionistes tirent sur les pêcheurs palestiniens, menaçant encore davantage la trêve
Les bateaux de guerre sionistes ont tiré à la mitrailleuse ce matin sur des pêcheurs palestiniens qui travaillaient dans la zone Soudaniyya, au nord de la Bande de Gaza. Il n’y a pas eu de blessés.

D’autre part, vendredi, ces mêmes navires ont tiré deux roquettes sur les pêcheurs dans la zone de Tal As-Sultain, à l’ouest de Rafah, au sud de Gaza, causant des dommages aux bateaux de pêche.

Ces attaques sont des violations directes de la trêve entre le régime sioniste et les mouvements de la résistance palestinienne, qui a pris effet le 19 juin.

Le régime sioniste et les mouvements palestiniens se sont réciproquement accusés de violer le cessez-le-feu. Selon les termes de la trêve négociée par l’Egypte, toutes les parties doivent retenir leurs tirs et le régime sioniste assouplira graduellement son blocus militaire des frontières de Gaza.

(…)

Les groupes palestiniens ont accusé le régime sioniste de traîner les pieds quant à l’application des articles clés de l’accord, principalement la fin du blocus.

ISM et Ma’an News - Gaza - 05-07-2008

http://www.ism-france.org/news/article.php?id=9373&type=communique≤sujet=Blocus

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58904

Français emprisonnés à l’étranger ... Et si on parlait à présent de Salah Hamouri ?

Nous reproduisons ici un communiqué du CAPJPO publié le 5 décembre 2007 : « Pour la libération de Salah Hamouri, franco-palestinien incarcéré depuis 3 ans par le régime sioniste »

Un étudiant français, de mère française, de père palestinien résident à Jérusalem, qui n’a donc en réalité que la nationalité française, puisque la « nationalité » palestinienne n’existe pas, est détenu depuis le 13 mars 2005, dans les geôles sionistes, sans jamais avoir été jugé. Salah Hamouri, 22 ans, étudiant à l’université de Béthléem, est ainsi retenu en otage depuis près de 3 ans, et le gouvernement français refuse de lever le petit doigt pour le faire libérer.

Le gouvernement, en la personne de Norbert Wurtz, porte parole du Quai d’Orsay a écrit à sa mère, Annick Denise Guidoux-Hamouri, professeur de français à Jérusalem, que le gouvernement français « ne peut pas interférer avec la ’justice israélienne’ » !

Ce que nos dirigeants appellent la ’justice israélienne’, ce sont les tribunaux militaires sionistes basés dans les territoires palestiniens occupés, totalement illégaux au regard du droit international, comme celui d’Ofer, devant lequel Salah Hamouri s’est présenté le 18 novembre dernier, pour s’entendre dire pour la 23 ème fois que l’audience était « reportée ».

La mère de Salah écrit : « Le soldat Gilad Shalit sert dans une armée d’occupation, il a été pris en otage, il a un pays tout puissant (le régime sioniste) pour le protéger, et la France engage toutes les démarches diplomatiques pour sa libération. Mon fils qui est au moins aussi français, est lui aussi pris en otage par la « justice militaire » sionistes, qui n’ayant que des « suspicions » contre lui, reporte sans cesse les audiences ; et il n’a personne pour le protéger. Monsieur Sarkozy a reçu en juillet dernier les familles des soldats sionistes, mais il n’a même pas daigné répondre à mes courriers. »

Ce même gouvernement qui réclame à cor et à cris la libération de trois soldats de l’armée d’occupation sioniste, ne s’est jamais soucié du sort des 11 000 prisonniers politiques palestiniens, dont des centaines de femmes et d’enfants qui croupissent et meurent dans des cellules insalubres, privés de soins, recevant une nourriture infecte, constamment humiliés après avoir été torturés. Pas besoin de jugement la plupart du temps. Ils sont coupables de dire non à l’occupation, d’être membres d’une organisation politique (Salah Hamouri est accusé d’être membre du Front Populaire de Libération de la Palestine), ou même d’être trop actifs dans la société civile, au sein d’associations palestiniennes qui apportent une aide à la population.

En octobre dernier, les gardiens de la prison sioniste de Ketziot ont attaqué les prisonniers de nuit, dans leurs tentes, pendant leur sommeil, tuant Muhammad Al-Ashqa, et blessant près de 200 autres détenus. Les prisonniers palestiniens dans de nombreuses prisons sionistes entamèrent une grève de la faim pour protester. Qui en a parlé ?

Amneh Muna, une palestinienne de 30 ans, en prison depuis 2001, vient de subir pendant 14 mois des conditions de détention incroyables en zone sioniste, recluse en isolement, dans une cellule de 2 m x 2,5, infectée de cafards, 23 heures sur 24, avec interdiction de parler à qui que ce soit pendant la seule heure de récréation, ni de recevoir des visites. Qui en parlé ? Une campagne internationale (nous remercions tous ceux qui s’y sont joints) vient de permettre à Amneh d’obtenir des conditions de détention un peu moins barbares.

Aujourd’hui, nous vous demandons d’interpeller le gouvernement français qui collabore ouvertement avec l’occupant sioniste, sur la situation de Salah Hamouri, en envoyant d’urgence cette carte postale à Nicolas Sarkozy (franchise postale pour l’Elysée : dispense de timbre).
Il faut que nous soyons très nombreux à intervenir. Merci de nous commander des cartes en quantité, dans toutes les villes de France, et de bien vouloir en diffuser autour de vous. Il suffit de nous envoyer un mail avec vos coordonnées exactes (ainsi qu’un N° de téléphone). Le coût est de1 euro les 5 cartes

Pour les envois postaux, nous prenons les commandes à partir de 20 cartes (soit 4 euros). Mais nous comptons sur vous et sur toutes les associations pour passer des commandes plus importantes, afin que cette campagne soit rapidement massive et percutante

Nous vous conseillons par ailleurs de demander à l’ensemble des médias d’informer leurs lecteurs, auditeurs et téléspectateurs sur la situation de ce concitoyen français retenu en otage.

(Adresses des medias sur le site : http://www.europalestine.com)
Contact : info@europalestine.com

Sur le même thème :

 Le cas de Salah Hamouri

 Salah Hamouri condamné par la justice israélienne
 La mère d’un Franco-Palestinien détenu en Israël déplore l’inaction du Quai d’Orsay

 Le Français Salah Hamouri dans les geôles israéliennes

5 décembre 2007 - CAPJPO-EuroPalestine

Info Palestine et CAPJPO - vendredi 4 juillet 2008

http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=3311

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58905

Les forces d’occupation kidnappent 2 jeunes hommes à Bethlehem

Les troupes coloniales ont pénétré dans la ville de Bethlehem, samedi 05/07/08 à l’aube, et kidnappé deux Palestiniens.

Selon des sources de sécurité à Bethlehem, une unité sioniste a envahi plusieurs quartiers de la ville et fouillé un certain nombre de maisons.

Les soldats se sont retirés après avoir kidnappé Mohammed ’Obeyat, et Nasser Nawawre, tous les deux âgés de 18 ans.

Ghassan Bannoura - IMEMC & correspondants – samedi 05 juillet 2008 – 12 : 55

http://www.imemc.org/article/55833

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58906

L’armée d’occupation attaque une manifestation non violente près de Ramallah, blesse 22 personnes, et kidnappe 4 Palestiniens

Au moins 22 personnes ont été blessées par les tirs de l’armée coloniale, lorsque les soldats ont attaqué une manifestation non violente dans le village de Na’alen, proche de la ville de Ramallah, vendredi 04/07/08 en milieu de journée.

Les villageois de Na’alen ont organisé, vendredi 04/07/08 , une manifestation contre le Mur d’Annexion sioniste illégal en cours de construction sur les terres du village. Des sources dans le village ont déclaré que la manifestation a eu lieu en deux vagues pour essayer d’empêcher les bulldozers de détruire les terres agricoles du village.

Salah Al Khawaja, du Comité Populaire contre le Mur, a déclaré que les soldats ont attaqué les manifestants, blessant 22 d’antre eux et kidnappant 4 militants pacifistes israéliens.

Al Khawaja a ajouté que les soldats avaient attaqué les villageois dans leurs maisons après la manifestation, et fermé toutes les routes reliantle village au monde extérieur.

Ghassan Bannoura - IMEMC & correspondants – samedi 05 juillet 2008 – 12 : 58

http://www.imemc.org/article/55834

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58907

Le village d’Al Khader proteste contre le Mur d’Annexion sioniste

Le village d’Al Khader, situé près de Bethlehem, a organisé vendredi 04/07/08 une manifestation non violente contre le Mur d’Annexion sionistes illégal en cours de construction sur les terres du village.

Au moins 150 Palestinien du village d’Al Khader, ainsi que des sympathisants internationaux, ont organisé une manifestation sur la route « pour colons seulement » voisine. Le défilé a commencé avec les prières de la mi-journée, récitées à proximité du checkpoint de l’armée local, puis des discours ont été prononcés par les organisateurs. Les soldats sionistes sont arrivés et dit que la zone était devenue une « zone militaire fermée » et ont demandé aux manifestants de partir. Les manifestants ont tenu bon et n’ont pas bougé, et la manifestation s’est poursuivie pendant plus d’une heure. Prenant la parole, Samier Jaber, l’un des organisateurs à Al Khader, a déclaré que « en ce 4 juillet, les étasuniens fêtent leur indépendance. Les Palestiniens veulent la leur. »

GhassanBannoura - IMEMC & correspondants – vendredi 04 juillet 2008 – 16 : 43

http://www.imemc.org/article/55814

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58908

Le ministre de la défense sioniste demande des punitions collectives pour les familles des résistants de Jérusalem

Les familles de deux hommes qui ont mené des attaques contre des « civils sionistes » seront punies pour les actes de leurs parents, a déclaré le ministre de la défense sioniste Ehud Barak, vendredi 04/07/08. Barak a demandé la démolition des maisons des parents de ces hommes, une position qui a été condamnée par le groupe de défense des droits de l’homme B’tselem comme « grave violation du droit humanitaire international. »

Le groupe a ajouté que les démolitions punitives de maisons, qui représentent environ 10% des démolitions de maisons menées par le régime sioniste (les 90% restant sont des démolitions administratives...) sont « un cas manifeste de punition collective, qui viole le principe selon lequel
une personne ne peut être punie pour les actes d’autrui. »

Les deux hommes, Hussam Duwiyat et Alaa Abou Dhaïm, ont tous deux mené des attaques contre des « juifs civils » à Jérusalem, et les deux ont été tués par l’armée sioniste au cours de leurs attaques. Duwiyat a tué tois « civils sionistes » mercredi dernier en utilisant un builldozer. Abou Dhaïm avait attaqué des élèves de l’école religieuse d’extrême droite Mercaz Harav, et il avait tué 8 d’entre eux.

Aujourd’hui, le ministre de la défense insiste pour que les familles des deux hommes soient punies, une pratique qui est la politique suivie en fait par la justice sioniste, mais qui est interdite par les principes des droits de l’homme internationaux. L’ordre de démolition soutenu par Barak vient un jour après que l’Attorney Général sioniste Menachem Mazouz a décrété que la démolition des maisons des membres de la famille des gens qui attaquent des sionistes peut être permise par la loi sioniste.

Mais le groupe de défense des droits de l’homme B’tselem presse la direction sioniste de « ne pas sacrifier la justice et la morale sur l’autel de la vengeance. ». Ce groupe a réalisé de nombreuses études qui montrent que la démolition des maisons des membres de la famille des attaquants ne dissuade pas de futures attaques, mais a en fait l’effet opposé, et alimente la colère et le ressentiment parmi ceux qui sont touchés.

Dans l’un au moins des cas étudiés, la de la famille de Hussam Duwaiyat, la maison est dans un bâtiment qui loge trois autres familles, de sorte que punir la famille Duwiyat en démolissant leur maison aura pour conséquence inévitable de détruire les maisons de trois autres familles.

[ commentaires : triste à dire, mais l’idée de punition collective est fort naturelle dans la tête de ceux qui s’imaginent qu’ils appartiennent à une race supérieure, race de seigneurs ou race de prêtres. En outre, Barak est sans doute tout à fait conscient que cette méthode ne fait qu’alimenter la violence, et donc accélérer la venue d’une issue tragique............

Saëd Bannoura - IMEMC & correspondants – samedi 05 juillet 2008 – 02 : 12

http://www.imemc.org/article/55829