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Nouvelles du jour (2ème édition)

Chronique de l’occupation (2ème de ce jour)

Mercredi, 25 juillet 2007

mercredi 25 juillet 2007

nombre d’entrées : 8

Envoyé le 25/07/07

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30501

A Hébron, une voiture de colons roule sur un adolescent

La voiture d’un colon sioniste a roulé sur le corps d’un adolescent Palestinien, Mu’tasim Al-Jamal, dans la ville de Hébron, mardi 24/07/07.

L’incident a eu lieu près de l’implantation de Kyriat Arba, à l’est de Hébron. Les colons ont fui les lieux après cette attaque.

La jeune Al-Jamal, blessé, a été transféré dans l’hôpital du gouvernement à Hébron pour y recevoir des soins.

Le père de la victime, Abdul Jalil Al-Jamal, a déclaré au correspondant de Ma’an que son fils était en train de vendre des bonbons lorsque des colons l’ont fait tomber à terre avant de prendre la fuite.

Hebron – Ma’an – 24 / 07 / 2007 - 17:18

http://www.maannews.net/en/index.php?opr=ShowDetails&ID=24236

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30502

Les forces sionistes arrêtent deux Palestiniens dans le district de Hébron

Les forces d’occupation ont arrêté, mardi matin, deux Palestiniens du district de Hébron, en Cisjordanie occupée.

Des sources de sécurité Palestiniennes ont déclaré au correspondant de Ma’an que « Samir ’Uweidat, 21 ans, étudiant à l’Université Technique Palestinienne Al Arroub a été arrêté dans la maison de sa famille dans la ville de Shouyoukh au nord est de Hébron, après que des unités coloniales aient forcé l’entrée de sa maison. »

Dans un incident distinct, un membre de la garde présidentielle, Sami Shunnaran, 35 ans, de la ville de Yatta, au sud de Hébron, a été interpellé par les forces d’occupation à un checkpoint militaire sioniste près de l’entrée de Jéricho à l’est de la Cisjordanie avant que l’armée coloniale ne l’emmène vers une destination inconnue.

Hebron – Ma’an - 24 / 07 / 2007 - 19:16

http://www.maannews.net/en/index.php?opr=ShowDetails&ID=24237

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30503

Les jeunes du Hamas manifestent pour appeler à la libérationde tous les prisonniers

Environ 5 000 jeunes gens ont organisé une manifestation dans la ville de Khan Younès, au sud de la Bande de Gaza, lundi en soirée, pour demander la libération des prisonniers Palestiniens détenus dans les prisons sionistes.

Le Hamas a organisé cette manifestation, principalement suivie par des étudiants venant des colonies de vacances d’Al Wafa. Le rassemblement a également formulé un message de soutien au gouvernement déposé dirigé par le premier ministre Ismail Haniyeh.

Gaza - Ma’an – 25 / 07 / 2007 - 09:28

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30504

Une fillette Palestinienne blessée par des pierres lancées par des colons près de Bethlehem

Des sources en langue hébreue rapportent qu’une fillette Palestinienne a été blessée, mercredi 25/07/07, lorsque des colons sionistes ont lancé des pierres sur la voiture où elle se trouvait. L’incident a eu lieu dans le village de Kherbet Addeir, à l’est de Bethlehem.

Les sources ont déclaré qu’un soldat sioniste lui a donné les premiers soins et que la fillette a été transportée vers un hôpital Palestinien à Bethlehem.

Bethlehem – Ma’an – 25 / 07 / 2007 - 10:48

http://www.maannews.net/en/index.php?opr=ShowDetails&ID=24242

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30505

Les Brigades Abou Ali Mustapha tirent une roquette sur Sderot

Les Brigades Abou Ali Mustapha (FPLP) ont revendiqué la responsabilité du lancement d’un projectile artisanal sur la ville sioniste de Sderot dans la soirée de mardi 24/07/07.

Les Brigades ont publié un communiqué reçu par Ma’an déclarant que cette opération était une réplique aux attaques sionistes contre les Palestiniens en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza.

Gaza – Ma’an – 25 / 07 / 2007 - 10:49

http://www.maannews.net/en/index.php?opr=ShowDetails&ID=24244

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30506

Des colons sionistes se préparent à ouvrir un nouvel avant poste près de Bethlehem.

Des colons sionistes prévoient d’établir une nouvelle colonie près de la ville de Bethlehem, selon le quotidien Haaretz daté de ce mercredi 25/07/07.

Neuf groupes sionistes de droite soutiennent le projet de cette nouvelle implantation, qui serait construite près de l’implantation existante d’« Erfat », au sud de Bethlehem. Haaretz rapporte que les colons entendent s’installer sur la colline ’Eitam’, située à l’intérieur des limites municipales de l’ancienne implantation, mais du côté sioniste du Mur de Séparation.

Haaretz rapporte encore que les colons évacués de l’implantation de « Nisanit », dans la Bande de Gaza, prévoient également de réinstaller là un avant poste.

Les forces sionistes se préparent à empêcher ces installations.

Bethlehem – Ma’an – 25 / 07 / 2007 - 11:25

http://www.maannews.net/en/index.php?opr=ShowDetails&ID=24247

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30507

Rapport : Les enfants palestiniens sont maltraités et torturés dans les prisons sionistes

Un rapport publié par Defense for Children International (DCI), intitulé « Enfants derrière les Barreaux », constate qu’en 2006 et au cours du premier semestre 2007, la grande majorité des enfants appréhendés par les forces sionistes a été emprisonnées.

Seuls 3 à 5% des enfants enlevés ont eu le droit à une mise en liberté sous caution en attendant leurs procès.

DCI a également noté que plus de 99% des enfants ont tenté de plaider coupable et la petite minorité qui a plaidé non-coupable a été en suite déclarée coupable et condamnée

L’organisation des droits de l’homme attire l’attention sur des articles de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme pour souligner que les individus accusés ont le droit d’être présumés innocents jusqu’à ce que l’on prouve leur culpabilité.

DCI déclare que les enfants ont admis les charges portées contre eux après des périodes prolongées d’interrogation, qui se sont produites avant leur parution devant la cour.

Le rapport inclut des témoignages personnels d’enfants qui dénoncent les abus physiques et sexuels qu’ils ont subi entre les mains de l’armée coloniale et les mauvais traitements pendant des périodes prolongées d’interrogation.

À la fin des interrogatoires, les enfants doivent signer des papiers, sans savoir ce qu’ils signent.

Maltraitance

Un enfant, Rashed Radwa, se souvient qu’il a été battu alors qu’il avait les yeux bandés. Il a été ensuite maltraité pendant dix heures dans le froid. On lui a alors demandé de signer des papiers en Hébreu et quand il a refusé, son interrogateur a cogné la tête contre un bureau

Le rapport déclare que "la police sioniste, l’armée sioniste et le personnel des services secrets sionistes effectuent quotidiennement des arrestations et des interrogatoires d’enfants palestiniens. Les arrestations et les interrogatoires consécutifs ont lieu dans les centres de détention, à l’écart de toutes réglementations, procédures ou lois transparentes, ce qui donne de larges pouvoirs au personnel de l’armée sioniste pendant cette phase."

L’ordre militaire israélien n° 378 déclare qu’un enfant palestinien peut être détenu par un simple soldat non gradé ou un par un officier de police sioniste pendant 96 heures.

Suite à cela, un enfant peut être détenu pour interrogatoire pendant 8 jours.

La période de détention peut alors être prolongée par un juge de l’armée pendant 90 jours et, ensuite, par un juge de la cour d’Appels pour 3 mois additionnels

Torture

DCI note que "Un aspect fondamental de la phase d’interrogatoire est l’utilisation de formes particulières de torture et de mauvais traitement".

Les déclarations des enfants palestiniens détenus dans les prisons sionistes, relatées par Defense for Children International dans cet article, illustrent les différents types de méthodes employées.

Le rapport reprend les articles de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme déclarant que personne ne devraient être sujets à la torture.

Assem Lufti Abdel Lattif Khalil, 16 ans, raconte son expérience de torture entre les mains des soldats sionistes. Il a été battu et maltraité dehors sous la pluie. Il a passé 40 jours dans un centre d’interrogatoire.

Un jeune de 15 ans dit qu’il a été abusé sexuellement et frappé à plusieurs reprises sur des endroits sensibles du corps.

DCI indique : "L’effet global de tout cela est l’érosion et la réduction virtuelles des droits des accusés palestiniens pendant la phase d’arrestation et d’interrogatoire.

Un enfant palestinien en état d’arrestation et pendant l’interrogatoire n’a pas le droit de parler ; d’un accès libre et immédiat à un avocat ; d’être conseillé de ses droits alors qu’il est arrêté et interrogé ; de ne pas être agressé, maltraité ou torturé ; d’avoir un contact avec un membre de se famille ou de quelqu’un qui le soutienne et ; d’être présumé innocent.

• Témoignage de Muss’ab Abed Al Basset Abdullah Abu Rayah, 15 ans, Camp d’Al Aroub, Prison d’Ofer le 12 Juin 2007

J’ai été arrêté par des soldats sionistes le 24 mai 2007 près du Collège d’Al Aroub. Lors de l’arrestation, les soldats m’ont donné des coups de poing. Ils m’ont cogné au ventre et aux épaules et après ils m’ont mis dans leur jeep. Pendant le transfert, ils m’ont bandés les yeux et menotté. Ils m’ont giflé.

Le transfert a duré une demi-heure jusqu’à ce que nous ayons atteint Khirbit Sor et là j’ai été encore frappé. Un des soldats me frappait dans le dos et il me posat des questions sans interruption et quand je ne répondais pas, il me frappait au visage. Il a continué à me poser à des questions pendant une demi-heure.

J’ai été ensuite transféré au centre de détention d’Atzion où j’ai été interrogé pendant une heure et l’interrogateur m’a montré des photos de quelqu’un qui lançait des pierres et de la peinture.

Vers le coucher du soleil, ils m’ont transféré dans un site militaire, je ne sais pas quel est le nom de cet endroit. J’ai passé toute la nuit dehors. Chaque soldat qui passait me frappait et je n’ai pas dormi du tout.

J’ai été interrogé en Hébreu et il y avait un soldat qui traduisait pour moi. J’ai signé des papiers mais je ne connais pas la teneur de ces papiers. Ils m’ont informé qu’ils contenaient ma confession sur le jet de pierres et le lendemain, ils m’ont transféré à la prison d’Ofer.

Nous étions 24 prisonniers, des enfants et un adulte sous une tente.

Lire le rapport (en anglais)

A lire également : "Des policiers des frontières filmés en train de frapper un jeune Palestinien"

Source : http://www.imemc.org/  Traduction : MG pour ISM

ISM et Saed Bannoura - Palestine - 24-07-2007

http://www.ism-france.org/news/article.php?id=7150&type=communique≤sujet=Enfants

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30508

Naplouse vendredi matin : les internationaux bloquent trois jeeps et chassent des snipers

L’invasion du camp de réfugiés d’Ein Beit Al Ma’ par les forces d’occupation s’est poursuivie vendredi 20 juillet. Vers 10h20 du matin, plusieurs jeeps ont traversé la rue principale de Naplouse et sont entrées dans le camp.

Les militants bloquent les jeeps

Les militants internationaux qui étaient présents ont organisé le barrage de la rue principale du camp pour empêcher que d’autres jeeps n’entrent dans le camp et poursuivent le siège des habitants. Trois internationaux ont été blessés par des balles caoutchouc-acier. Ils n’y a eu que trois des victimes des forces sionistes, cependant très agressives ce matin là, en ce matin qui aurait pu être un moment tranquille et paisible d’un jour de congé.

Pendant près de 40 minutes, les militants se sont assis par terre dans la rue, empêchant les FIO d’entrer dans le camp. Pendant cette confrontation entre les jeeps et les militants non violents, plusieurs bombes sonores ont été lancées depuis les fenêtres des jeeps, et également des grenades lacrymogènes, toutes lancées d’une distance très courte.

"Ils ne passeront pas" ; les militants se passaient le mot, tout à fait déterminés à rester sur la route en dépit des tentatives des sionistes de leur faire peur et de les obliger à partir.

Les militants ont crié aux jeeps : "Sur qui tirez-vous ? " Les sionistes ont continué à tirer des balles caoutchouc-acier dans leur direction, et également en direction des jeunes palestiniens qui se tenaient sur le bord de la route. "En tirant de si près, vous allez tuer quelqu’un. C’est un M16, à cette distance, il peut tuer. Vous comprenez, vous allez tuer quelqu’un si vous tirez de si près", a crié un militant aux soldats dans la jeep qui continuaient à tirer.

Trois jeeps ont été bloquées par les militants, l’une en position offensive, une autre derrière elle sur la même rue, et la troisième en bas de la rue perpendiculaire à la rue principale du camp.

La première jeep reculait et avançait rapidement en faisant vrombir son moteur, s’arrêtant à cinquante centimètres des militants. "Est-ce que nous avons l’air de bouger ? Reculez, reculez", cria l’un des militants. Ils étaient déterminés à ne pas laisser entrer les jeeps dans le camp. Ils sont restés assis sur la route, et la jeep a continué à reculer et avancer jusqu’à eux, à quelques centimètres de leurs têtes qui du coup se trouvaient à hauteur des pare-chocs et du pot d’échappement qui leur lâchait des épais nuages de fumée à la figure.

Les soldats des troupes coloniales ont pointé leurs armes sur les militants depuis les petits orifices des jeeps, où ils étaient cachés. "Vous savez ce qui va se passer si vous tirez ? " a demandé une internationale. Au moment où elle prononçait "tirer", une balle caoutchouc-métal est partie de la jeep. "Vous tirez sur des enfants qui pourraient être vos frères. Vous tirez sur vos jeunes frères", a-t-elle continué.

La jeep a poursuivi son offensive, espérant effrayer les militants avec leurs balles, leurs grenades assourdissantes, leurs avancées rapides et le bruit du moteur. De nombreux militants en ont profité pour fumer une cigarette, montrant aux soldats qu’ils n’étaient pas impressionnés par la manière dont ils utilisaient l’aide étrangère des Etats-Unis.

"Regardez-moi ! Vous pouvez me voir. Nous ne faisons pas ça pour vous faire du mal ; nous faisons ça pour vous empêcher de LEUR faire du mal", dit une militante en montrant les rues derrière elle, les rues du camp de réfugiés. "Est-ce que vous allez me tuer parce que je me tiens devant votre jeep ? ".

Quarante minutes après, les FIO ont été obligées de partir. Pas un seul soldat n’est sorti des jeeps pendant toute la durée de l’exercice.

C’était machine contre humain dans les rues de Naplouse. Ce matin-là, la détermination humaine a gagné.

Les snipers des FIO chassés !

Le même matin, après que les 6 militants internationaux aient forcé les 3 jeeps des forces d’occupation à battre en retraite alors qu’elles essayaient d’entrer dans le camp de Ein Beit Al Ma’, ils ont réussi une autre action.

A 11h30, plusieurs tireurs sionistes ont été forcés de quitter la maison qu’ils occupaient depuis 3h du matin. Les internationaux sont entrés dans la maison après le départ des snipers et ont trouvé à l’intérieur 35 civils, dont 20 enfants.

Les internationaux ont passé au peigne fin la principale rue du camp de réfugié, vendredi matin, pour s’assurer que l’armée l’avait complètement évacué. Plusieurs jeunes palestiniens se sont approchés d’eux pour leur montrer les tireurs sionistes cachés dans un bâtiment sur la colline, au-dessus du camp.

Les militants se sont dirigés vers le bâtiment où ils ont trouvé la porte enfoncée. Depuis l’extérieur, ils ont discuté avec les soldats. "On sait où vous êtes, partez maintenant", a crié un international à travers la porte. Plusieurs autres militants ont fait écho à cet appel.

Un soldat est sorti et a pointé son fusil sur la poitrine du militant. "Il n’y a absolument aucune raison que vous nous menaciez avec votre fusil, et vous le savez très bien". En même temps, les militants pouvaient voir plusieurs personnes retenues prisonnières dans leur propre maison. Le soldat a rapidement fermé la porte lorsqu’il a vu que tout était filmé.

Les militants ont continué à crier aux soldats, à travers la porte, que leur position était connue et qu’il était inutile de continuer à occuper le bâtiment. "Votre position dépend du fait que vous pensez qu’elle est secrète, et ce n’est pas le cas. Allez-vous en. C’est un crime de guerre. Vous n’avez pas le droit de vous servir de civils comme boucliers humains, et c’est que vous êtes en train de faire. Vous n’avez pas le droit d’investir une maison et de l’utiliser pour tirer. Allez-vous en."

Les négociations ont continué entre les militants internationaux et les soldats, qui murmuraient de l’autre côté de la porte.

"Je sais que vous avez des ordres, mais vous devez comprendre que vous enfreignez la loi. Et vous devez décider par vous-mêmes de ce qui est légal. Il est temps de partir, et vous le savez", a dit un militant.

"Vous ne pouvez pas retenir prisonnière une famille pendant que vous vous servez de sa maison comme position de tireur. Et en plus ça n’a plus aucun sens. Tout le monde sait que vous êtes là. Comment croyez-vous qu’on vous a trouvés, si ce n’est par la porte que vous avez enfoncée ? Ce n’était pas très difficile… Nous savons que vous êtes là. Il est temps que vous partiez. Appelez vos gars, montez dans vos jeeps et fichez-le camp. Ce n’est plus pour vous une position stratégique. Appelez vos jeeps et partez."

Environ 20 minutes après, les tireurs sionistes ont appelé les jeeps pour qu’elles viennent les chercher. Les sept sont sortis de la maison. Lorsque les soldats et les jeeps sont partis, les gens piégés à l’intérieur se sont répandus dans la rue.

Environ 12 à 15 soldats étaient entrés dans la maison vers 3h du matin, et avaient occupé l’étage supérieur, a expliqué un des hommes bloqués dans sa propre maison. Ils ont fait descendre au rez de chaussée tous les occupants de la maison. Ils ont séparé les enfants des adultes. Deux soldats se sont mis en faction devant la porte de la maison et devant la porte de la pièce où toutes les personnes étaient retenues. Les autres soldats sont restés à l’étage.

"Mes enfants avaient très peur, ils pleuraient", a dit une femme qui était seule chez elle avec ses enfants parce que son mari était obligé, à cause de l’occupation sioniste et du régime d’apartheid, à chercher du travail à l’étranger.

"L’occupation sioniste contrôle tout le pays, ils font comme si ils étaient chez eux", dit un autre homme, emprisonné dans sa propre maison pendant plus de huit heures.

Une des familles était arrivée la veille de Jordanie pour un mariage. Une des femmes de cette famille a exprimé sa profonde tristesse et le choc qu’elle ressentait de voir combien les conditions de vie en Palestine changeaient rapidement et de manière terrible.

Personne n’a été physiquement blessé pendant l’occupation de la maison, et leurs biens n’ont pas été détruits. Un homme a dit aux internationaux qu’il n’avait pas entendu de tirs partant du troisième étage.

Source : ISM  Traduction : MR pour ISM

[ndt : Ho, Nanar, tu vois ce qu’on arrive à faire, juste avec des c....?]

ISM - Naplouse - 22-07-2007

http://www.ism-france.org/news/article.php?id=7140&type=temoignage≤sujet=Non%20Violence

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